Texte intégral
Alors que l'ensemble des pays membres de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), pays développés comme pays en développement, viennent une nouvelle fois d'accorder leur confiance à Pascal Lamy pour diriger cette organisation dans les quatre prochaines années, je lui adresse mes plus sincères, mes plus chaleureuses et mes plus amicales félicitations pour cette réélection, qui était soutenue par l'Union européenne.
Je tiens à remercier Pascal Lamy pour le travail réalisé durant son précédent mandat et l'assurer de ma confiance dans l'accomplissement des importantes fonctions qui lui sont à nouveau confiées en particulier dans le contexte de crise économique actuelle, face à laquelle touts les Etats doivent éviter les tentations protectionnistes.
La communauté internationale a besoin d'une OMC capable de relever les défis d'une mondialisation mieux maîtrisée et plus solidaire, capable aussi de répondre aux attentes des pays les plus pauvres et plus attentive aux préoccupations environnementales, sociales ou culturelles qui sont exprimées dans nos sociétés. En poursuivant son engagement résolu pour faciliter les négociations en cours, il revient à Pascal Lamy de tout mettre en oeuvre pour permettre, comme l'a souhaité le G20 de Londres, une conclusion rapide, ambitieuse et équilibrée du cycle de Doha.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 6 mai 2009
Je tiens à remercier Pascal Lamy pour le travail réalisé durant son précédent mandat et l'assurer de ma confiance dans l'accomplissement des importantes fonctions qui lui sont à nouveau confiées en particulier dans le contexte de crise économique actuelle, face à laquelle touts les Etats doivent éviter les tentations protectionnistes.
La communauté internationale a besoin d'une OMC capable de relever les défis d'une mondialisation mieux maîtrisée et plus solidaire, capable aussi de répondre aux attentes des pays les plus pauvres et plus attentive aux préoccupations environnementales, sociales ou culturelles qui sont exprimées dans nos sociétés. En poursuivant son engagement résolu pour faciliter les négociations en cours, il revient à Pascal Lamy de tout mettre en oeuvre pour permettre, comme l'a souhaité le G20 de Londres, une conclusion rapide, ambitieuse et équilibrée du cycle de Doha.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 6 mai 2009