Texte intégral
Mesdames, messieurs,
C'est avec grand plaisir que je m'adresse à vous par l'intermédiaire de Monsieur le Recteur de la Guadeloupe que je remercie vivement d'être mon porte-parole en cette circonstance.
Je me félicite de la tenue dans un département français de la Caraïbes de ce colloque qui réunit, pour 4 jours, un nombre important d'acteurs éminents de la formation supérieure technologique en France, à Cuba et en Amérique latine.
Cette réunion témoigne des relations constructives qui peuvent se nouer dans cette zone où la France est présente et souhaite l'être davantage encore.
J'ai pris connaissance, avec intérêt, de la diversité et de la richesse des thèmes que vous aborderez au cours de vos travaux. Vous évoquerez ainsi les problèmes liés aux stratégies pédagogiques, la place que doivent prendre désormais les nouvelles technologies de l'information et de la communication dans la formation. Vous engagerez des réflexions, que je souhaite fécondes, sur l'émergence de compétences nouvelles telles que l'esprit d'entreprise, la veille et le développement technologiques. Vous échangerez vos expériences sur la formation initiale, la formation en alternance, la formation continue que je préfère appeler formation tout au long de la vie comprise dans la perspective d'une professionnalisation durable de la personne. Autant de thèmes au cur des préoccupations de mon ministère dans la mesure même où ils concourent directement à l'affirmation du modèle de professionnalisation durable qui est celui qui vit et défend la France.
Ces travaux devraient contribuer à renforcer, encore, le haut niveau de qualité des formations assurées dans nos instituts universitaires de technologie français et les instituts supérieurs technologiques de Cuba et d'ailleurs.
Depuis de nombreuses années déjà, les IUT répondent avec pertinence aux besoins de l'économie nationale en techniciens supérieurs. Leur réseau est dense et couvre une large palette de formations par l'intermédiaire de près de 600 départements répartis sur le territoire. Je connais également les efforts engagés pour développer les liens de coopération avec l'environnement économique des établissements, pour élever le niveau et actualiser sans cesse les contenus de formation. Dans cette affirmation de la définition des métiers de notre époque comme sciences pratiques et encore une fois la professionnalisation durable qui est en ligne de mire.
Tous ces efforts ont permis de définir des profils de techniciens recherchés par les entreprises dans tous les secteurs d'activité et ont conduit à la constitution d'un modèle de formation qui est légitimement et unanimement apprécié à l'étranger.
C'est pour la promotion et la valorisation de ce modèle que vous vous trouvez réunis aujourd'hui ; pour le développer par la confrontation des pratiques et, si cela est souhaité, en diffuser la démarche et les caractéristiques ainsi enrichies par ces contacts et ces échanges de bonnes pratiques dans des pays amis avec qui nous engageons des opérations d'échanges et de coopération.
Je mets donc à profit cette occasion pour saluer chaleureusement les représentants des pays d'Amérique centrale et ceux de Cuba qui seront, je n'en doute pas, des participants particulièrement actifs de ce colloque. Leurs compétences pédagogiques ne manqueront pas d'enrichir les réflexions que vous mènerez au cours de ces journées
J'adresse un message particulier de sympathie à mon collègue, Francisco Fereira Baez, vice-ministre chargé de l'enseignement technologique à Cuba qui a eu l'occasion, lors d'un récent voyage en France, d'apprécier le savoir-faire des IUT.
Je tiens enfin à remercier tous ceux qui, à un titre ou à un autre, ont contribué ou contribueront à l'organisation et au succès de ce colloque. Je salue leur initiative et les efforts qu'ils ont consentis.
Je vous souhaite à tous de bons travaux, riches d'échanges et de réflexions.
(source http://www.enseignement-professionnel.gouv.fr, le 22 mai 2001)
C'est avec grand plaisir que je m'adresse à vous par l'intermédiaire de Monsieur le Recteur de la Guadeloupe que je remercie vivement d'être mon porte-parole en cette circonstance.
Je me félicite de la tenue dans un département français de la Caraïbes de ce colloque qui réunit, pour 4 jours, un nombre important d'acteurs éminents de la formation supérieure technologique en France, à Cuba et en Amérique latine.
Cette réunion témoigne des relations constructives qui peuvent se nouer dans cette zone où la France est présente et souhaite l'être davantage encore.
J'ai pris connaissance, avec intérêt, de la diversité et de la richesse des thèmes que vous aborderez au cours de vos travaux. Vous évoquerez ainsi les problèmes liés aux stratégies pédagogiques, la place que doivent prendre désormais les nouvelles technologies de l'information et de la communication dans la formation. Vous engagerez des réflexions, que je souhaite fécondes, sur l'émergence de compétences nouvelles telles que l'esprit d'entreprise, la veille et le développement technologiques. Vous échangerez vos expériences sur la formation initiale, la formation en alternance, la formation continue que je préfère appeler formation tout au long de la vie comprise dans la perspective d'une professionnalisation durable de la personne. Autant de thèmes au cur des préoccupations de mon ministère dans la mesure même où ils concourent directement à l'affirmation du modèle de professionnalisation durable qui est celui qui vit et défend la France.
Ces travaux devraient contribuer à renforcer, encore, le haut niveau de qualité des formations assurées dans nos instituts universitaires de technologie français et les instituts supérieurs technologiques de Cuba et d'ailleurs.
Depuis de nombreuses années déjà, les IUT répondent avec pertinence aux besoins de l'économie nationale en techniciens supérieurs. Leur réseau est dense et couvre une large palette de formations par l'intermédiaire de près de 600 départements répartis sur le territoire. Je connais également les efforts engagés pour développer les liens de coopération avec l'environnement économique des établissements, pour élever le niveau et actualiser sans cesse les contenus de formation. Dans cette affirmation de la définition des métiers de notre époque comme sciences pratiques et encore une fois la professionnalisation durable qui est en ligne de mire.
Tous ces efforts ont permis de définir des profils de techniciens recherchés par les entreprises dans tous les secteurs d'activité et ont conduit à la constitution d'un modèle de formation qui est légitimement et unanimement apprécié à l'étranger.
C'est pour la promotion et la valorisation de ce modèle que vous vous trouvez réunis aujourd'hui ; pour le développer par la confrontation des pratiques et, si cela est souhaité, en diffuser la démarche et les caractéristiques ainsi enrichies par ces contacts et ces échanges de bonnes pratiques dans des pays amis avec qui nous engageons des opérations d'échanges et de coopération.
Je mets donc à profit cette occasion pour saluer chaleureusement les représentants des pays d'Amérique centrale et ceux de Cuba qui seront, je n'en doute pas, des participants particulièrement actifs de ce colloque. Leurs compétences pédagogiques ne manqueront pas d'enrichir les réflexions que vous mènerez au cours de ces journées
J'adresse un message particulier de sympathie à mon collègue, Francisco Fereira Baez, vice-ministre chargé de l'enseignement technologique à Cuba qui a eu l'occasion, lors d'un récent voyage en France, d'apprécier le savoir-faire des IUT.
Je tiens enfin à remercier tous ceux qui, à un titre ou à un autre, ont contribué ou contribueront à l'organisation et au succès de ce colloque. Je salue leur initiative et les efforts qu'ils ont consentis.
Je vous souhaite à tous de bons travaux, riches d'échanges et de réflexions.
(source http://www.enseignement-professionnel.gouv.fr, le 22 mai 2001)