Texte intégral
Q - (Concernant la situation humanitaire sur place)
R - Vous pensez que les chirurgiens vont faire le tri entre ceux qu'ils connaissent et ceux qu'ils ne connaissent pas ! Tous les êtres vulnérables, et en particulier les enfants, sont l'objet de toutes nos attentions. Dès qu'il y a le signalement d'une crèche, on y va. On essaye en effet de les mettre en contact les uns avec les autres mais nous ne pouvons pas choisir, nous n'avons pas à choisir, seule l'urgence compte encore. Nous sommes dans la période d'urgence. Il faut évidemment parler avec les associations, nous faisons cela tout le temps, nous parlerons avec les associations.
Q - Concernant le rôle directeur des Etats-Unis.
R - Ce qui compte c'est d'être efficace. Ils ont une machine extraordinairement rodée et dotée de moyens humains beaucoup plus importants que la nôtre. Il faut travailler avec eux. Je n'ai pas dit qu'il faut travailler sous leurs ordres, bien sûr que non, mais il faut travailler avec eux.
Q - A propos de l'efficacité française.
R - Ce n'est jamais assez efficace, mais il s'agit d'un sursaut international comme il n'y en a jamais eu avec des équipes nombreuses s'agissant en particulier de la France. Il y a près de 600 personnes maintenant sur place, des sauveteurs, des médecins, des hôpitaux, des postes avancés, ce n'est jamais assez. Le malheur est immense, je ne peux pas être satisfait. Nous essayons de faire mieux de jour en jour.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 19 janvier 2010
R - Vous pensez que les chirurgiens vont faire le tri entre ceux qu'ils connaissent et ceux qu'ils ne connaissent pas ! Tous les êtres vulnérables, et en particulier les enfants, sont l'objet de toutes nos attentions. Dès qu'il y a le signalement d'une crèche, on y va. On essaye en effet de les mettre en contact les uns avec les autres mais nous ne pouvons pas choisir, nous n'avons pas à choisir, seule l'urgence compte encore. Nous sommes dans la période d'urgence. Il faut évidemment parler avec les associations, nous faisons cela tout le temps, nous parlerons avec les associations.
Q - Concernant le rôle directeur des Etats-Unis.
R - Ce qui compte c'est d'être efficace. Ils ont une machine extraordinairement rodée et dotée de moyens humains beaucoup plus importants que la nôtre. Il faut travailler avec eux. Je n'ai pas dit qu'il faut travailler sous leurs ordres, bien sûr que non, mais il faut travailler avec eux.
Q - A propos de l'efficacité française.
R - Ce n'est jamais assez efficace, mais il s'agit d'un sursaut international comme il n'y en a jamais eu avec des équipes nombreuses s'agissant en particulier de la France. Il y a près de 600 personnes maintenant sur place, des sauveteurs, des médecins, des hôpitaux, des postes avancés, ce n'est jamais assez. Le malheur est immense, je ne peux pas être satisfait. Nous essayons de faire mieux de jour en jour.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 19 janvier 2010