Texte intégral
La France est très vivement préoccupée par l'attitude des autorités de Kinshasa à l'égard de la mission d'enquête désignée par le Secrétaire général des Nations unies sur les allégations de massacres et les violations des Droits de l'Homme dans l'ex-Zaïre qui est actuellement sur place. Nous sommes en particulier inquiets des conditions posées par Kinshasa pour le déroulement de cette mission.
Nous espérons que la mission confiée par le Secrétaire général des Nations unies à son représentant spécial, M. Mohamed Sahnoun, permettra de lever ces conditions afin que les enquêteurs entament au plus vite leur travail.
Comme nous l'avons rappelé avec nos partenaires de l'Union européenne lors du Conseil européen d'Amsterdam : "la reconstruction du pays et l'obtention de la reconnaissance et de l'aide de la communauté internationale, y compris de l'Union européenne, sont subordonnés à deux conditions essentielles : le respect des Droits de l'Homme et du droit humanitaire international, ainsi qu'un engagement véritable en faveur de la démocratie./.
Nous espérons que la mission confiée par le Secrétaire général des Nations unies à son représentant spécial, M. Mohamed Sahnoun, permettra de lever ces conditions afin que les enquêteurs entament au plus vite leur travail.
Comme nous l'avons rappelé avec nos partenaires de l'Union européenne lors du Conseil européen d'Amsterdam : "la reconstruction du pays et l'obtention de la reconnaissance et de l'aide de la communauté internationale, y compris de l'Union européenne, sont subordonnés à deux conditions essentielles : le respect des Droits de l'Homme et du droit humanitaire international, ainsi qu'un engagement véritable en faveur de la démocratie./.