Texte intégral
Le ministre auprès de la ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi, chargé de l'industrie, a présenté une communication sur un aspect de la politique industrielle menée par le Gouvernement, la stratégie de réindustralisation. Cette stratégie repose sur deux axes.
Le premier axe vise à prévenir autant que possible les fermetures d'entreprises industrielles, et, le cas échéant, à accompagner ces restructurations en privilégiant le retour à l'emploi et à l'activité. Pour cela, un travail approfondi d'anticipation est réalisé, afin d'identifier et de résoudre les difficultés le plus en amont possible, grâce en particulier à l'action du médiateur de la sous-traitance et à l'intervention d'outils financiers (Fonds stratégique d'investissement, Fonds de consolidation et de développement des entreprises, Fonds de modernisation des équipementiers automobiles, Oséo). Lorsque les restructurations sont inévitables, les entreprises et les salariés sont accompagnés dans l'objectif de permettre le maintien dans l'emploi ou le retour à l'emploi le plus rapide et le plus pérenne possible. Enfin, l'Etat veille à ce que les entreprises qui licencient financent des actions de réindustrialisation, au travers notamment des conventions de revitalisation et avec l'appui du Fonds national de revitalisation des territoires.Le second axe de cette stratégie de réindustrialisation vise à inciter à l'ancrage territorial des activités en France, avec notamment une enveloppe de 200 Meuros consacrée à cet objectif dans le cadre des investissements d'avenir. Le nouveau dispositif d'aide à la réindustrialisation, créé en cohérence avec les dispositifs existants, a pour objectif la réalisation d'une quarantaine de projets de réindustrialisation et la création de 2000 emplois. Les projets retenus sont soutenus sous la forme d'avances remboursables pouvant aller jusqu'à 60% du montant de l'investissement.
Le premier axe vise à prévenir autant que possible les fermetures d'entreprises industrielles, et, le cas échéant, à accompagner ces restructurations en privilégiant le retour à l'emploi et à l'activité. Pour cela, un travail approfondi d'anticipation est réalisé, afin d'identifier et de résoudre les difficultés le plus en amont possible, grâce en particulier à l'action du médiateur de la sous-traitance et à l'intervention d'outils financiers (Fonds stratégique d'investissement, Fonds de consolidation et de développement des entreprises, Fonds de modernisation des équipementiers automobiles, Oséo). Lorsque les restructurations sont inévitables, les entreprises et les salariés sont accompagnés dans l'objectif de permettre le maintien dans l'emploi ou le retour à l'emploi le plus rapide et le plus pérenne possible. Enfin, l'Etat veille à ce que les entreprises qui licencient financent des actions de réindustrialisation, au travers notamment des conventions de revitalisation et avec l'appui du Fonds national de revitalisation des territoires.Le second axe de cette stratégie de réindustrialisation vise à inciter à l'ancrage territorial des activités en France, avec notamment une enveloppe de 200 Meuros consacrée à cet objectif dans le cadre des investissements d'avenir. Le nouveau dispositif d'aide à la réindustrialisation, créé en cohérence avec les dispositifs existants, a pour objectif la réalisation d'une quarantaine de projets de réindustrialisation et la création de 2000 emplois. Les projets retenus sont soutenus sous la forme d'avances remboursables pouvant aller jusqu'à 60% du montant de l'investissement.