Texte intégral
Le Président de la République s'est rendu, à son arrivée en Martinique, au domicile de Mireille MILLOU, soeur d'Aimé CESAIRE.
A l'occasion de cet entretien chaleureux, le Président a convenu avec la famille de rendre un hommage de la Nation à Aimé CESAIRE en organisant, au mois d'avril prochain, une cérémonie au Panthéon.
Lors de cette cérémonie, une plaque à la mémoire du grand intellectuel et de l'homme engagé de la Martinique sera scellée au coeur du Panthéon, marquant ainsi la reconnaissance de la France dans son ensemble. Son corps restera, conformément à sa volonté, sur cette terre de Martinique qu'il a si bien incarnée pendant plus d'un demi-siècle.
Aimé CESAIRE avait longuement rencontré, pour la première fois en mars 2006, Nicolas SARKOZY. Par la suite, le chef de l'État avait tenu à faire baptiser l'aéroport de la Martinique du nom d'Aimé CESAIRE, de son vivant. A la disparition de ce dernier, en avril 2008, le chef de l'État avait fait organiser des obsèques nationales et s'était déplacé pour y assister.
Par cet hommage simple mais solennel de la République, le chef de l'État souhaite respecter la mémoire d'un homme qui avait fait de la modestie une exigence de tous les jours.
A l'occasion de cet entretien chaleureux, le Président a convenu avec la famille de rendre un hommage de la Nation à Aimé CESAIRE en organisant, au mois d'avril prochain, une cérémonie au Panthéon.
Lors de cette cérémonie, une plaque à la mémoire du grand intellectuel et de l'homme engagé de la Martinique sera scellée au coeur du Panthéon, marquant ainsi la reconnaissance de la France dans son ensemble. Son corps restera, conformément à sa volonté, sur cette terre de Martinique qu'il a si bien incarnée pendant plus d'un demi-siècle.
Aimé CESAIRE avait longuement rencontré, pour la première fois en mars 2006, Nicolas SARKOZY. Par la suite, le chef de l'État avait tenu à faire baptiser l'aéroport de la Martinique du nom d'Aimé CESAIRE, de son vivant. A la disparition de ce dernier, en avril 2008, le chef de l'État avait fait organiser des obsèques nationales et s'était déplacé pour y assister.
Par cet hommage simple mais solennel de la République, le chef de l'État souhaite respecter la mémoire d'un homme qui avait fait de la modestie une exigence de tous les jours.