Texte intégral
Le ministre auprès du ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé de la coopération, a présenté la stratégie de la politique française de développement.
Cette politique poursuit quatre objectifs : lutter contre la pauvreté et les inégalités ; favoriser une croissance durable et équitable ; préserver les biens publics mondiaux ; promouvoir la gouvernance et l'Etat de droit.
La France a réalisé des efforts substantiels en matière d'aide publique au développement. Elle devrait demeurer le deuxième contributeur mondial avec un volume d?aide de près de 10 milliards d'euros en 2010.
L'Afrique sub-saharienne concentre plus de 60% de cet effort budgétaire. Les contributions françaises dans les secteurs sociaux de la santé et de l'éducation ont crû significativement. La France soutient également le secteur privé afin de favoriser la croissance et l'emploi avec, par exemple, l'initiative du Cap lancée par le Président de la République en 2008. Au total, 55% des contributions sont destinées à l'aide bilatérale.
Par ailleurs, des outils permettant d?évaluer l'impact de l'aide ont été mis en place dans une démarche de transparence qui associe le Parlement.
La France est également en première ligne pour promouvoir les financements innovants. La contrainte budgétaire conduit à envisager des moyens supplémentaires pour réaliser les objectifs du développement et faire face aux défis du changement climatique. Dans cette perspective, la France est favorable à l'institution d'une taxe sur les transactions financières.La France est un acteur majeur de l'aide publique au développement, ce qui lui permet d'être crédible dans les débats européens et internationaux. En 2011, la présidence française du G20 s'attachera à la mise en oeuvre du plan d'action pour le développement, adopté au sommet de Séoul, en mettant l'accent sur les infrastructures, la sécurité alimentaire et le financement du développement.
Cette politique poursuit quatre objectifs : lutter contre la pauvreté et les inégalités ; favoriser une croissance durable et équitable ; préserver les biens publics mondiaux ; promouvoir la gouvernance et l'Etat de droit.
La France a réalisé des efforts substantiels en matière d'aide publique au développement. Elle devrait demeurer le deuxième contributeur mondial avec un volume d?aide de près de 10 milliards d'euros en 2010.
L'Afrique sub-saharienne concentre plus de 60% de cet effort budgétaire. Les contributions françaises dans les secteurs sociaux de la santé et de l'éducation ont crû significativement. La France soutient également le secteur privé afin de favoriser la croissance et l'emploi avec, par exemple, l'initiative du Cap lancée par le Président de la République en 2008. Au total, 55% des contributions sont destinées à l'aide bilatérale.
Par ailleurs, des outils permettant d?évaluer l'impact de l'aide ont été mis en place dans une démarche de transparence qui associe le Parlement.
La France est également en première ligne pour promouvoir les financements innovants. La contrainte budgétaire conduit à envisager des moyens supplémentaires pour réaliser les objectifs du développement et faire face aux défis du changement climatique. Dans cette perspective, la France est favorable à l'institution d'une taxe sur les transactions financières.La France est un acteur majeur de l'aide publique au développement, ce qui lui permet d'être crédible dans les débats européens et internationaux. En 2011, la présidence française du G20 s'attachera à la mise en oeuvre du plan d'action pour le développement, adopté au sommet de Séoul, en mettant l'accent sur les infrastructures, la sécurité alimentaire et le financement du développement.