Texte intégral
Journaliste - LAllemagne nous dit ce matin que cétaient les graines germées qui étaient en cause, comment est-ce que vous voyez ça, cest une bonne nouvelle pour
François Fillon, Premier ministre - Ecoutez, ce que lAllemagne a dit ce matin, cest que le concombre nest pas en cause et que la bactérie mortelle a été retrouvée dans des graines germées, cela met donc complètement hors de cause le concombre, comme dailleurs le gouvernement français le disait depuis plusieurs jours. Cest donc une bonne nouvelle, cest une bonne nouvelle pour les maraîchers, en particulier ceux de cette région des Pays de la Loire à laquelle je suis particulièrement attaché. Et je voudrais profiter de loccasion qui mest donnée pour inviter tout le monde à savourer le concombre qui ne représente aucun danger.
Journaliste - Monsieur le ministre, vous navez pas évoqué Xynthia, peut-être des aides, on aurait peut-être attendu des aides pour la construction de digues.
François Fillon - Nous, nous avons un "plan digues" qui est en place, qui a été financé, qui a été financé notamment grâce au crédit du fonds Barnier. Simplement les décisions que nous avons prises sont des décisions qui sont respectueuses de lenvironnement. Il ne sagit pas de construire des forteresses pour protéger tout le littoral de la nature, des éléments naturels, il sagit de le faire là où cest nécessaire et là où il est préférable pour la protection de lenvironnement de ne pas prévoir dactivités humaines, dhabitations. Eh bien ! Nous avons entrepris, comme vous le savez, de racheter ces habitations et de les détruire, cest un plan équilibré qui a été retenu.
Journaliste - Quest-ce que vous pensez de ce possible départ de PSA dAulnay qui a été évoqué ?
François Fillon - Ecoutez, moi je suis rassuré par les engagements que le président de PSA a pris hier vis-à-vis du Gouvernement. Jaurai dailleurs loccasion dès demain de le retrouver dans le cadre des 24 Heures du Mans, la formule dailleurs veut que les entreprises françaises et Peugeot en particulier soient aux premières places. Et je lui redirai que compte tenu des aides très importantes que le gouvernement français a apportées à lindustrie automobile française, le Gouvernement naccepterait pas et ne comprendrait pas que les entreprises automobiles françaises ne soient pas redevables à la nation qui les a aidées.
Source http://www.gouvernement.fr, le 14 juin 2011
François Fillon, Premier ministre - Ecoutez, ce que lAllemagne a dit ce matin, cest que le concombre nest pas en cause et que la bactérie mortelle a été retrouvée dans des graines germées, cela met donc complètement hors de cause le concombre, comme dailleurs le gouvernement français le disait depuis plusieurs jours. Cest donc une bonne nouvelle, cest une bonne nouvelle pour les maraîchers, en particulier ceux de cette région des Pays de la Loire à laquelle je suis particulièrement attaché. Et je voudrais profiter de loccasion qui mest donnée pour inviter tout le monde à savourer le concombre qui ne représente aucun danger.
Journaliste - Monsieur le ministre, vous navez pas évoqué Xynthia, peut-être des aides, on aurait peut-être attendu des aides pour la construction de digues.
François Fillon - Nous, nous avons un "plan digues" qui est en place, qui a été financé, qui a été financé notamment grâce au crédit du fonds Barnier. Simplement les décisions que nous avons prises sont des décisions qui sont respectueuses de lenvironnement. Il ne sagit pas de construire des forteresses pour protéger tout le littoral de la nature, des éléments naturels, il sagit de le faire là où cest nécessaire et là où il est préférable pour la protection de lenvironnement de ne pas prévoir dactivités humaines, dhabitations. Eh bien ! Nous avons entrepris, comme vous le savez, de racheter ces habitations et de les détruire, cest un plan équilibré qui a été retenu.
Journaliste - Quest-ce que vous pensez de ce possible départ de PSA dAulnay qui a été évoqué ?
François Fillon - Ecoutez, moi je suis rassuré par les engagements que le président de PSA a pris hier vis-à-vis du Gouvernement. Jaurai dailleurs loccasion dès demain de le retrouver dans le cadre des 24 Heures du Mans, la formule dailleurs veut que les entreprises françaises et Peugeot en particulier soient aux premières places. Et je lui redirai que compte tenu des aides très importantes que le gouvernement français a apportées à lindustrie automobile française, le Gouvernement naccepterait pas et ne comprendrait pas que les entreprises automobiles françaises ne soient pas redevables à la nation qui les a aidées.
Source http://www.gouvernement.fr, le 14 juin 2011