Texte intégral
Le ministre de lenseignement supérieur et de la recherche a présenté une communication relative à la nouvelle licence universitaire.
Après avoir lancé dès 2007, pour lutter contre léchec en première année de licence, un plan « Réussite en licence » qui a mobilisé 730 M de moyens nouveaux sur 2007-2012, le Gouvernement sest attaché à restaurer lattractivité de ce diplôme en en réformant le contenu.
Le nouvel arrêté, dont la préparation a donné lieu à une vaste concertation, fixe les principes régissant la licence et en définit les modalités. Il prend appui sur les expériences menées par les universités dans le cadre de leur autonomie et organise la généralisation de bonnes pratiques.
Il augmente la durée minimale denseignement pour garantir la qualité académique de la licence.
Il fait de la licence un diplôme davantage orienté vers la vie professionnelle. Des stages validés dans le cursus deviennent possibles et des référentiels de compétence définis en concertation avec lensemble des parties prenantes, y compris avec les employeurs potentiels, sont prévus.
La réforme permet enfin des parcours qui tiennent compte de la diversité des profils des étudiants : les passerelles entre formations, les parcours de soutien ou dexcellence, les semestres rebonds, qui permettent aux étudiants ayant des difficultés en première année de préparer leur réorientation, ou les systèmes de tutorat seront généralisés.
La nouvelle licence permettra ainsi doffrir à tous les étudiants de vraies chances de réussite et de mieux les préparer à sinsérer dans la vie active.
Cette démarche, qui a reçu un accueil favorable dans la communauté académique, illustre la maturité du dialogue social dans lenseignement supérieur.
Après avoir lancé dès 2007, pour lutter contre léchec en première année de licence, un plan « Réussite en licence » qui a mobilisé 730 M de moyens nouveaux sur 2007-2012, le Gouvernement sest attaché à restaurer lattractivité de ce diplôme en en réformant le contenu.
Le nouvel arrêté, dont la préparation a donné lieu à une vaste concertation, fixe les principes régissant la licence et en définit les modalités. Il prend appui sur les expériences menées par les universités dans le cadre de leur autonomie et organise la généralisation de bonnes pratiques.
Il augmente la durée minimale denseignement pour garantir la qualité académique de la licence.
Il fait de la licence un diplôme davantage orienté vers la vie professionnelle. Des stages validés dans le cursus deviennent possibles et des référentiels de compétence définis en concertation avec lensemble des parties prenantes, y compris avec les employeurs potentiels, sont prévus.
La réforme permet enfin des parcours qui tiennent compte de la diversité des profils des étudiants : les passerelles entre formations, les parcours de soutien ou dexcellence, les semestres rebonds, qui permettent aux étudiants ayant des difficultés en première année de préparer leur réorientation, ou les systèmes de tutorat seront généralisés.
La nouvelle licence permettra ainsi doffrir à tous les étudiants de vraies chances de réussite et de mieux les préparer à sinsérer dans la vie active.
Cette démarche, qui a reçu un accueil favorable dans la communauté académique, illustre la maturité du dialogue social dans lenseignement supérieur.