Texte intégral
Les Français, depuis le début, ont toujours eu une position consistant à dire que nous souhaitions que la candidature vienne de l'Afrique. Donc, les Africains s'unissent parce que c'est la tradition. Le premier secrétaire général, M. Boutros Ghali, était Égyptien, c'est-à-dire une certaine partie de l'Afrique. Ensuite, il y avait eu un consensus général avec M. Abdou Diouf.
Pour nous, la Francophonie, c'est d'abord l'Afrique. Donc, nous avons souhaité et nous souhaitons toujours que les Africains s'entendent. Maintenant, on ne peut pas faire le choix à leur place. Beaucoup nous ont dit qu'il fallait faire le choix mais ce n'est pas notre conception des choses. Il faut encore travailler.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 3 décembre 2014
Pour nous, la Francophonie, c'est d'abord l'Afrique. Donc, nous avons souhaité et nous souhaitons toujours que les Africains s'entendent. Maintenant, on ne peut pas faire le choix à leur place. Beaucoup nous ont dit qu'il fallait faire le choix mais ce n'est pas notre conception des choses. Il faut encore travailler.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 3 décembre 2014