Résumé
Justification de la présentation d'un candidat communiste, du fait de l'abandon par le PS de l'union de la gauche (cf ralliement à la majorité de M. Robert Fabre, devenu médiateur )-pas d'attaque possible du passé de M. Georges Marchais. Critique des pouvoirs exagérés du président Giscard d'Estaing. Mise au-point sur le cas de M. Henri Fiszbin. Opposition du PCF à la politique de consensus de M. Giscard d'Estaing et qui recherche non un dialogue avec l'opposition mais une participation du PS.<br>- Abandon par le PCF de la stratégie antérieure qui n'a pas abouti et volonté d'accroître la force du PCF pour imposer un véritable changement et créer les conditions d'une union nouvelle. Volonté de M. Marchais de ne pas faire de promesses démagogiques, comme M. Giscard d'Estaing en 1974, mais d'exposer la politique nécessaire face à la crise et au chômage. Pas de possibilité d'un accord entre le PS et le PCF dans les conditions actuelles. Importance fondamentale du score du candidat co mmuniste au 1er tour de l'élection présidentielle de 1981, M. Marchais déclarant périmée la formule de désistement automatique au 2ème tour en-raison des reports de voix déficients du PS vers le PCF lors d'élections antérieures.- 21 VUES