Texte intégral
Nous vivons un temps de paix, de sécurité et de progrès dans une démocratie affirmée et dans une Europe occidentale organisée et pacifiée.
Ce moment évidemment privilégié, nous le devons à celles et à ceux qui, voici 55 ans, ont permis à la France et à l'Europe de se libérer du système totalitaire nazi.
Ce 8 mai 2000, notre pensée est tournée vers ces hommes et ces femmes qui ont refusé la défaite, qui se sont engagés, qui ont combattu, qui ont souffert, qui ont tout risqué pour le redressement et la Libération de la France.
Ce 8 mai 2000, notre pensée est tournée vers toutes les victimes de la seconde guerre mondiale : foule immense, d'enfants, de femmes, d'hommes, arrêtés, déportés, fusillés, tués, assassinés et massacrés.
Ce 8 mai 2000, notre pensée est tournée vers nos soldats de 1940, vers les premiers résistants, vers l'appel du 18 juin.
Ce 8 mai 2000, 55 ans après la fin de la seconde guerre mondiale et alors que nous changeons de siècle, pouvons-nous espérer que les jeunes générations d'Europe ne connaissent plus jamais pareille tragédie?
Beaucoup d'éléments nous incitent à la confiance, à l'espérance, alors que d'autres nous appellent à la vigilance.
En vérité, cela dépend de ces jeunes eux-mêmes.
Il leur appartiendra de faire vivre, de défendre et d'étendre les valeurs universelles de Liberté, d'Egalité et de Fraternité.
Il leur appartiendra de lier le destin européen dans un projet politique, économique et de sécurité, écartant les dérives nationalistes.
Pour réussir, il leur faut être à la hauteur de celles et ceux qui voilà plus de 55 ans, ont engagé leur propre existence, pour que vivent les valeurs de notre République et que vive la France.
Cérémonies nationales
(Source http://www.defense.gouv.fr, le 9 mai 2000)
Ce moment évidemment privilégié, nous le devons à celles et à ceux qui, voici 55 ans, ont permis à la France et à l'Europe de se libérer du système totalitaire nazi.
Ce 8 mai 2000, notre pensée est tournée vers ces hommes et ces femmes qui ont refusé la défaite, qui se sont engagés, qui ont combattu, qui ont souffert, qui ont tout risqué pour le redressement et la Libération de la France.
Ce 8 mai 2000, notre pensée est tournée vers toutes les victimes de la seconde guerre mondiale : foule immense, d'enfants, de femmes, d'hommes, arrêtés, déportés, fusillés, tués, assassinés et massacrés.
Ce 8 mai 2000, notre pensée est tournée vers nos soldats de 1940, vers les premiers résistants, vers l'appel du 18 juin.
Ce 8 mai 2000, 55 ans après la fin de la seconde guerre mondiale et alors que nous changeons de siècle, pouvons-nous espérer que les jeunes générations d'Europe ne connaissent plus jamais pareille tragédie?
Beaucoup d'éléments nous incitent à la confiance, à l'espérance, alors que d'autres nous appellent à la vigilance.
En vérité, cela dépend de ces jeunes eux-mêmes.
Il leur appartiendra de faire vivre, de défendre et d'étendre les valeurs universelles de Liberté, d'Egalité et de Fraternité.
Il leur appartiendra de lier le destin européen dans un projet politique, économique et de sécurité, écartant les dérives nationalistes.
Pour réussir, il leur faut être à la hauteur de celles et ceux qui voilà plus de 55 ans, ont engagé leur propre existence, pour que vivent les valeurs de notre République et que vive la France.
Cérémonies nationales
(Source http://www.defense.gouv.fr, le 9 mai 2000)