Texte intégral
L'Ambassadeur d'Irak en France a été convoqué ce jour au Quai d'Orsay où il a été reçu par le Directeur d'Afrique du Nord et Moyen-Orient. Il avait été déjà convoqué lundi dernier.
- M. Leclercq a marqué à nouveau à M. Al Hashimi la vive préoccupation du gouvernement français quant au sort de nos ressortissants actuellement retenus en Irak et au Koweit. Il lui a rappelé que la France considérait que l'Irak était responsable de la sécurité de nos compatriotes, tant en Irak qu'au Koweit, et devait garantir effectivement leur liberté de circulation ainsi que le prévoit la IVème Convention de Genève. Ceci impliquait notamment que tous les ressortissants étrangers bénéficient du même traitement et des mêmes garanties. Il a insisté sur la disponibilité du gouvernement français à mettre en oeuvre les moyens nécessaires pour permettre à nos compatriotes qui le souhaitent de rejoindre la France dans les plus brefs délais.
- Se réfèrant aux récentes déclarations de l'Ambassadeur d'Irak, selon lesquelles les Français présents en Irak et au Koweit n'étaient ni des "otages", ni des "prisonniers". Le directeur d'Afrique du Nord et Moyen-Orient a demandé à l'Ambassadeur d'Irak de faire savoir à son gouvernement que la France souhaitait que des engagements concrets en apportent la preuve.
- M. Leclercq a marqué à nouveau à M. Al Hashimi la vive préoccupation du gouvernement français quant au sort de nos ressortissants actuellement retenus en Irak et au Koweit. Il lui a rappelé que la France considérait que l'Irak était responsable de la sécurité de nos compatriotes, tant en Irak qu'au Koweit, et devait garantir effectivement leur liberté de circulation ainsi que le prévoit la IVème Convention de Genève. Ceci impliquait notamment que tous les ressortissants étrangers bénéficient du même traitement et des mêmes garanties. Il a insisté sur la disponibilité du gouvernement français à mettre en oeuvre les moyens nécessaires pour permettre à nos compatriotes qui le souhaitent de rejoindre la France dans les plus brefs délais.
- Se réfèrant aux récentes déclarations de l'Ambassadeur d'Irak, selon lesquelles les Français présents en Irak et au Koweit n'étaient ni des "otages", ni des "prisonniers". Le directeur d'Afrique du Nord et Moyen-Orient a demandé à l'Ambassadeur d'Irak de faire savoir à son gouvernement que la France souhaitait que des engagements concrets en apportent la preuve.