Texte intégral
Vivement préoccupés par la crise résultant de l'agression irakienne contre le Koweït, Etat souverain et indépendant, l'URSS et la France se félicitent de l'adoption par le Conseil de Sécurité de la Résolution 665 qui vise à assurer la stricte application des sanctions décidées contre l'Irak. Cette décision fournit un nouveau témoignage de l'accord des membres permanents du Conseil de Sécurité et de la Communauté internationale pour mettre fin le plus rapidement possible à une situation constituant une violation flagrante des principes qui régissent les relations entre les Etats et une atteinte grave à la paix et à la sécurité internationales.
- Les deux parties confirment leur attachement au principe d'une action collective, menée conformément à la Charte des Nations unies, en vue de parvenir à un règlement politique de la crise fondé sur le retrait des forces irakiennes du Koweït et la restauration de la souveraineté de ce pays arabe.
- Exprimant leur profonde alarme au sujet de la situation des ressortissants étrangers retenus en Irak et au Koweït au mépris des obligations résultant de la légalité internationale et des Droits de l'Homme, les deux ministres réitèrent l'exigence formulée par le Conseil de Sécurité selon laquelle l'Irak doit les laisser regagner librement et sans délai leur pays d'origine. Ils demandent à l'Irak de s'abstenir de toute action entravant le fonctionnement des missions diplomatiques et consulaires au Koweït et portant atteinte au statut et à l'intégrité de leur personnel.
- L'URSS et la France pressent l'Irak de faire preuve de réalisme et de raison en se conformant à la volonté de la Communauté internationale telle qu'elle s'est exprimée dans les Résolutions adoptées par le Conseil de Sécurité au sujet de la crise dans le Golfe.
- Les deux parties se sont déclarées convaincues que cette crise met une nouvelle fois en relief la nécessité urgente d'efforts plus intenses en vue d'un règlement des autres situations de crise au Proche Orient et, particulièrement, de la question palestinienne. Elles renouvellent leur soutien à l'action arabe pour le règlement de la crise libanaise.
- L'URSS et la France poursuivront leur étroite concertation sur les développements de la situation dans le Golfe.
- Les deux parties confirment leur attachement au principe d'une action collective, menée conformément à la Charte des Nations unies, en vue de parvenir à un règlement politique de la crise fondé sur le retrait des forces irakiennes du Koweït et la restauration de la souveraineté de ce pays arabe.
- Exprimant leur profonde alarme au sujet de la situation des ressortissants étrangers retenus en Irak et au Koweït au mépris des obligations résultant de la légalité internationale et des Droits de l'Homme, les deux ministres réitèrent l'exigence formulée par le Conseil de Sécurité selon laquelle l'Irak doit les laisser regagner librement et sans délai leur pays d'origine. Ils demandent à l'Irak de s'abstenir de toute action entravant le fonctionnement des missions diplomatiques et consulaires au Koweït et portant atteinte au statut et à l'intégrité de leur personnel.
- L'URSS et la France pressent l'Irak de faire preuve de réalisme et de raison en se conformant à la volonté de la Communauté internationale telle qu'elle s'est exprimée dans les Résolutions adoptées par le Conseil de Sécurité au sujet de la crise dans le Golfe.
- Les deux parties se sont déclarées convaincues que cette crise met une nouvelle fois en relief la nécessité urgente d'efforts plus intenses en vue d'un règlement des autres situations de crise au Proche Orient et, particulièrement, de la question palestinienne. Elles renouvellent leur soutien à l'action arabe pour le règlement de la crise libanaise.
- L'URSS et la France poursuivront leur étroite concertation sur les développements de la situation dans le Golfe.