Texte intégral
Premier communiqué
- Pour répondre aux difficultés que rencontrent certaines entreprises françaises en raison de la crise du Golfe, le Premier ministre a décidé la mise en place dès le mardi 25 septembre 1990 d'une cellule "entreprises-Golfe".
- Elle aura pour mission :
- d'examiner avec les chefs d'entreprise les problèmes de toute nature qu'ils rencontrent ;
- de les assister dans leurs démarches auprès des administrations compétentes.
- M. Michel Bardet, Conseiller commercial, animera cette cellule. Les entreprises pourront le contacter à partir du 25 septembre au 41, quai Branly 75007 Paris (tél. 45 50 85 85).
- Deuxième communiqué
- La crise du Golfe fait peser sur les salariés français retenus en Irak et au Koweit et sur leurs employeurs des contraintes particulières.
- L'effort de tous est nécessaire pour que se manifeste concrètement la solidarité nationale, notamment pour que soient maintenus les contrats de travail en cours.
- D'ores et déjà, le Gouvernement est en mesure de préciser que les salariés appartenant à une entreprise dont la survie serait mise en cause par la cessation brutale de son activité en Irak ou au Koweit pourront, avec l'accord de leurs employeurs, bénéficier :
- du maintien des contrats de travail ;
- des procédures d'indemnisation dites du chômage partiel total.
- Ces entreprises pourront également, a leur demande et lorsque leur situation le justifie, bénéficier des moratoires pour le règlement de leurs dettes, tant auprès du fisc que des organismes sociaux.
- M. Bardet, conseiller commercial à l'Ambassade de France à Bagdad, actuellement à Paris, dirige la cellule "entreprise-Golfe", mise en place mardi dernier, qui se tient à la disposition de toutes les entreprises concernées.
- M. Bardet a rendu compte à M. Tony Dreyfus, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, de l'état des situations les plus difficiles.
- M. Tony Dreyfus, s'est entretenu dès ce jour avec le Président de la Société Technip - entreprise française qui compte actuellement, avec ses sous-traitants, 70 salariés retenus en otage, de la situation de ses collaborateurs.
- La situation de la société GERIB est en cours d'examen ; elle fera l'objet d'un communiqué prochainement.
- Pour répondre aux difficultés que rencontrent certaines entreprises françaises en raison de la crise du Golfe, le Premier ministre a décidé la mise en place dès le mardi 25 septembre 1990 d'une cellule "entreprises-Golfe".
- Elle aura pour mission :
- d'examiner avec les chefs d'entreprise les problèmes de toute nature qu'ils rencontrent ;
- de les assister dans leurs démarches auprès des administrations compétentes.
- M. Michel Bardet, Conseiller commercial, animera cette cellule. Les entreprises pourront le contacter à partir du 25 septembre au 41, quai Branly 75007 Paris (tél. 45 50 85 85).
- Deuxième communiqué
- La crise du Golfe fait peser sur les salariés français retenus en Irak et au Koweit et sur leurs employeurs des contraintes particulières.
- L'effort de tous est nécessaire pour que se manifeste concrètement la solidarité nationale, notamment pour que soient maintenus les contrats de travail en cours.
- D'ores et déjà, le Gouvernement est en mesure de préciser que les salariés appartenant à une entreprise dont la survie serait mise en cause par la cessation brutale de son activité en Irak ou au Koweit pourront, avec l'accord de leurs employeurs, bénéficier :
- du maintien des contrats de travail ;
- des procédures d'indemnisation dites du chômage partiel total.
- Ces entreprises pourront également, a leur demande et lorsque leur situation le justifie, bénéficier des moratoires pour le règlement de leurs dettes, tant auprès du fisc que des organismes sociaux.
- M. Bardet, conseiller commercial à l'Ambassade de France à Bagdad, actuellement à Paris, dirige la cellule "entreprise-Golfe", mise en place mardi dernier, qui se tient à la disposition de toutes les entreprises concernées.
- M. Bardet a rendu compte à M. Tony Dreyfus, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, de l'état des situations les plus difficiles.
- M. Tony Dreyfus, s'est entretenu dès ce jour avec le Président de la Société Technip - entreprise française qui compte actuellement, avec ses sous-traitants, 70 salariés retenus en otage, de la situation de ses collaborateurs.
- La situation de la société GERIB est en cours d'examen ; elle fera l'objet d'un communiqué prochainement.