Texte intégral
La libération des otages, si elle se produisait, serait une bonne nouvelle pour ceux qui retrouveraient la liberté, pour les familles dont l'angoisse prendrait fin et pour les pays qui sont solidaires de leurs compatriotes.
- Si les informations en provenance de Bagdad étaient confirmées, seraient aussitôt mis en place les dispositifs de rapatriement.
- Reste le problème moral et politique. La prise d'otages est odieuse. Leur libération n'est qu'une réparation de cet acte inadmissible. La France ne peut se prêter à une quelconque négociation à ce sujet.
- Le problème né de l'invasion et de l'occupation du Koweït par l'Irak demeure en toute hypothèse. La crise du Golfe ne pourra trouver sa solution pacifique hors de la mise en oeuvre par l'Irak des résolutions du Conseil de sécurité qui impliquent notamment le retrait total et sans condition du Koweït.
- Si les informations en provenance de Bagdad étaient confirmées, seraient aussitôt mis en place les dispositifs de rapatriement.
- Reste le problème moral et politique. La prise d'otages est odieuse. Leur libération n'est qu'une réparation de cet acte inadmissible. La France ne peut se prêter à une quelconque négociation à ce sujet.
- Le problème né de l'invasion et de l'occupation du Koweït par l'Irak demeure en toute hypothèse. La crise du Golfe ne pourra trouver sa solution pacifique hors de la mise en oeuvre par l'Irak des résolutions du Conseil de sécurité qui impliquent notamment le retrait total et sans condition du Koweït.