Texte intégral
Les Douze saluent l'heureuse conclusion des négociations sur l'Afghanistan. L'accord de Genève constitue un pas important vers un règlement de la crise afghane. Les Douze attendent désormais de l'Union soviétique qu'elle retire toutes ses troupes d'Afghanistan sans délai, avant la fin de 1988. Ainsi sera-t-il mis fin à une occupation qui a duré plus de 8 ans et qui a provoqué d'immenses souffrances dans la population afghane.
- Les Douze rendent hommage aux efforts inlassables déployés par le secrétaire général des Nations unies et par son représentant spécial M. Diego Cordovez pour trouver une solution à la crise.
- Les Douze rendent également hommage à la généreuse hospitalité du Pakistan qui accueille plusieurs millions de réfugiés afghans depuis de nombreuses années. Ils expriment leur admiration pour la résistance du peuple afghan à l'occupation soviétique.
- Les Douze estiment que, pour permettre un retour à une paix véritable, l'évacuation des forces soviétiques et le libre retour des réfugiés doivent s'accompagner d'un règlement politique d'ensemble de la crise. Ils considèrent à cet égard que la participation de la résistance à un processus d'autodétermination et à la mise en place d'un gouvernement véritablement représentatif à Kaboul est indispensable.
- L'Afghanistan a été dévasté par huit années de guerre. Dans la perspective d'un règlement, les Douze sont prêts à apporter, en étroite concertation avec les organisations internationales compétentes et les autres pays qui y sont disposés leur contribution à la réinstallation des réfugiés dans leur pays et, le moment venu, à la reconstruction d'un Afghanistan indépendant et non aligné.
- Les Douze rendent hommage aux efforts inlassables déployés par le secrétaire général des Nations unies et par son représentant spécial M. Diego Cordovez pour trouver une solution à la crise.
- Les Douze rendent également hommage à la généreuse hospitalité du Pakistan qui accueille plusieurs millions de réfugiés afghans depuis de nombreuses années. Ils expriment leur admiration pour la résistance du peuple afghan à l'occupation soviétique.
- Les Douze estiment que, pour permettre un retour à une paix véritable, l'évacuation des forces soviétiques et le libre retour des réfugiés doivent s'accompagner d'un règlement politique d'ensemble de la crise. Ils considèrent à cet égard que la participation de la résistance à un processus d'autodétermination et à la mise en place d'un gouvernement véritablement représentatif à Kaboul est indispensable.
- L'Afghanistan a été dévasté par huit années de guerre. Dans la perspective d'un règlement, les Douze sont prêts à apporter, en étroite concertation avec les organisations internationales compétentes et les autres pays qui y sont disposés leur contribution à la réinstallation des réfugiés dans leur pays et, le moment venu, à la reconstruction d'un Afghanistan indépendant et non aligné.