Texte intégral
A Marseille, le candidat d'extrême-droite achève aujourd'hui sa campagne. Il reste trois jours avant le deuxième tour.
J'en appelle à la responsabilité de l'ensemble des responsables d'organisations politiques, sociales, démocratiques et citoyennes, de toutes celles et ceux qui peuvent faire entendre leur voix dans le débat public.
A trois jours d'un vote d'une extrême gravité pour la France, chacune, chacun doit très clairement appeler au vote Jacques Chirac dimanche. Il ne suffit pas d'appeler à battre Le Pen. Il ne suffit pas d'appeler à voter. Il faut dire clairement que seul le fait de mettre dans l'urne un bulletin de vote Jacques Chirac peut permettre de parer au danger de l'extrême-droite.
Mon sentiment est qu'aujourd'hui encore certains, certaines, sous-estiment le danger que notre pays court. Il est réel.
Il reste trois jours pour convaincre de nombreux concitoyens et concitoyennes rebuté-e-s par le vote pour Chirac, tenté-e-s par l'abstentionnisme ou par le vote blanc.
(Source http://www.pcf.fr, le 6 mai 2002)
J'en appelle à la responsabilité de l'ensemble des responsables d'organisations politiques, sociales, démocratiques et citoyennes, de toutes celles et ceux qui peuvent faire entendre leur voix dans le débat public.
A trois jours d'un vote d'une extrême gravité pour la France, chacune, chacun doit très clairement appeler au vote Jacques Chirac dimanche. Il ne suffit pas d'appeler à battre Le Pen. Il ne suffit pas d'appeler à voter. Il faut dire clairement que seul le fait de mettre dans l'urne un bulletin de vote Jacques Chirac peut permettre de parer au danger de l'extrême-droite.
Mon sentiment est qu'aujourd'hui encore certains, certaines, sous-estiment le danger que notre pays court. Il est réel.
Il reste trois jours pour convaincre de nombreux concitoyens et concitoyennes rebuté-e-s par le vote pour Chirac, tenté-e-s par l'abstentionnisme ou par le vote blanc.
(Source http://www.pcf.fr, le 6 mai 2002)