Texte intégral
Q - Monsieur le Ministre, que pouvez-vous nous dire sur la rencontre que vous avez eue avec votre homologue macédonien ?
R - C'est notre première rencontre et j'étais particulièrement heureux de rencontrer M. Casule, d'autant plus que demain c'est la fête nationale macédonienne. Cette rencontre a une force symbolique tout à fait particulière. C'était l'occasion, bien évidemment de faire le point sur les relations entre nos deux pays - ce sont des relations excellentes - faire le point sur la situation générale dans les Balkans, dans la région, sur les relations entre l'Union européenne, l'ARYM et les Balkans. Nous avons, évidemment, un intérêt commun à la stabilité, au renforcement des relations entre nos deux pays et nous voulons oeuvrer justement au cours des prochains mois pour cette stabilité et ce renforcement de nos liens.
Q - Cela veut dire que la France confirme son engagement dans les Balkans et en Macédoine particulièrement ?
R - Tout à fait, c'est un enjeu très important pour l'Europe et pour la France et nous souhaitons prendre toute notre part dans ce rôle de stabilisation de développement. Il s'agit de pays très proches par la culture, par la géographie, par le coeur et nous souhaitons prendre toute notre place et toute notre part dans le développement de ces relations.
Q - Est-il possible que la France engage ses soldats pour remplacer ceux de l'OTAN lorsque l'Union européenne reprendra la mission ?
R - Vous connaissez l'engagement qui a été pris au Conseil européen de Séville. C'est le souhait que l'Union européenne puisse, le moment venu, à l'automne, remplir cette tâche. Nous continuons de faire avancer ce projet. Nous disposons maintenant de peu de temps, et c'est dire qu'il faut mobiliser nos énergies pour le rendre possible. Nous avons bien sûr évoqué cette question importante pour nos deux pays et je suis sûr que l'Union européenne sera au rendez-vous. Merci.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 5 août 2002)
R - C'est notre première rencontre et j'étais particulièrement heureux de rencontrer M. Casule, d'autant plus que demain c'est la fête nationale macédonienne. Cette rencontre a une force symbolique tout à fait particulière. C'était l'occasion, bien évidemment de faire le point sur les relations entre nos deux pays - ce sont des relations excellentes - faire le point sur la situation générale dans les Balkans, dans la région, sur les relations entre l'Union européenne, l'ARYM et les Balkans. Nous avons, évidemment, un intérêt commun à la stabilité, au renforcement des relations entre nos deux pays et nous voulons oeuvrer justement au cours des prochains mois pour cette stabilité et ce renforcement de nos liens.
Q - Cela veut dire que la France confirme son engagement dans les Balkans et en Macédoine particulièrement ?
R - Tout à fait, c'est un enjeu très important pour l'Europe et pour la France et nous souhaitons prendre toute notre part dans ce rôle de stabilisation de développement. Il s'agit de pays très proches par la culture, par la géographie, par le coeur et nous souhaitons prendre toute notre place et toute notre part dans le développement de ces relations.
Q - Est-il possible que la France engage ses soldats pour remplacer ceux de l'OTAN lorsque l'Union européenne reprendra la mission ?
R - Vous connaissez l'engagement qui a été pris au Conseil européen de Séville. C'est le souhait que l'Union européenne puisse, le moment venu, à l'automne, remplir cette tâche. Nous continuons de faire avancer ce projet. Nous disposons maintenant de peu de temps, et c'est dire qu'il faut mobiliser nos énergies pour le rendre possible. Nous avons bien sûr évoqué cette question importante pour nos deux pays et je suis sûr que l'Union européenne sera au rendez-vous. Merci.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 5 août 2002)