Texte intégral
Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre de l'Ecologie et du Développement Durable, conduit la délégation française à la Huitième Conférence des Parties à la Convention Climat à New Delhi. La délégation française a joué un rôle moteur au sein de l'Union Européenne dans les négociations techniques qui se sont déroulées depuis l'ouverture de la conférence.
A ce stade, les négociations ont débouché sur les accords suivants, qui visent à conforter le processus issu de Bonn et Marrakech :
- la décision de lancer un programme sur cinq ans d'éducation, de formation et de sensibilisation du public notamment destiné à développer et à consolider la capacité d'expertise des pays en voie de développement.
- la prise en compte à l'initiative de l'Union Européenne d'une décision reconnaissant les conclusions du GIEC et confirmant la nécessité de scénarios de stabilisation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.
- l'adoption des compléments méthodologiques indispensables à la mise en oeuvre du Protocole de Kyoto et laissés en suspens dans les accords de Marrakech, portant sur :
- la méthode de comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre ;
- les bases techniques du registre de droits d'émissions entre les pays, qui a largement bénéficié de l'expérience française en matière de gestion de registre informatisé et sécurisé.
Par ailleurs, la première table ronde a permis de constater que de nombreux pays en développement sont favorables à l'entrée en vigueur du Protocole de Kyoto et appellent toutes les parties à le ratifier.
Les négociations rencontrent des difficultés sur la rédaction des lignes directrices pour l'élaboration des communications nationales des pays non inscrits à l'annexe I qui prévoient notamment les inventaires de leurs émissions, leurs programmes nationaux et leur vulnérabilité aux impacts du changement climatique.
Pour lever ces blocages, Roselyne Bachelot-Narquin a proposé que les pays de l'Union intensifient les concertations bi-latérales avec les pays du G77 et a annoncé qu'elle porterait une attention particulière aux pays francophones et aux pays du pourtour méditerranéen.
La France aux cotés de ses partenaires européens se mobilise pour qu'un accord soit obtenu à COP8 sur ce point, ainsi que sur la mise en oeuvre du mécanisme financier climat dont le principe a été adopté à Marrakech.
La France, convaincue de la nécessité de rallier nos partenaires à la lutte contre le changement climatique, réaffirmera sa détermination à respecter ses engagements financiers pris à Bonn et à contribuer au financement de la mise en oeuvre de la Convention et du Protocole.
A ce stade, les négociations ont débouché sur les accords suivants, qui visent à conforter le processus issu de Bonn et Marrakech :
- la décision de lancer un programme sur cinq ans d'éducation, de formation et de sensibilisation du public notamment destiné à développer et à consolider la capacité d'expertise des pays en voie de développement.
- la prise en compte à l'initiative de l'Union Européenne d'une décision reconnaissant les conclusions du GIEC et confirmant la nécessité de scénarios de stabilisation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.
- l'adoption des compléments méthodologiques indispensables à la mise en oeuvre du Protocole de Kyoto et laissés en suspens dans les accords de Marrakech, portant sur :
- la méthode de comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre ;
- les bases techniques du registre de droits d'émissions entre les pays, qui a largement bénéficié de l'expérience française en matière de gestion de registre informatisé et sécurisé.
Par ailleurs, la première table ronde a permis de constater que de nombreux pays en développement sont favorables à l'entrée en vigueur du Protocole de Kyoto et appellent toutes les parties à le ratifier.
Les négociations rencontrent des difficultés sur la rédaction des lignes directrices pour l'élaboration des communications nationales des pays non inscrits à l'annexe I qui prévoient notamment les inventaires de leurs émissions, leurs programmes nationaux et leur vulnérabilité aux impacts du changement climatique.
Pour lever ces blocages, Roselyne Bachelot-Narquin a proposé que les pays de l'Union intensifient les concertations bi-latérales avec les pays du G77 et a annoncé qu'elle porterait une attention particulière aux pays francophones et aux pays du pourtour méditerranéen.
La France aux cotés de ses partenaires européens se mobilise pour qu'un accord soit obtenu à COP8 sur ce point, ainsi que sur la mise en oeuvre du mécanisme financier climat dont le principe a été adopté à Marrakech.
La France, convaincue de la nécessité de rallier nos partenaires à la lutte contre le changement climatique, réaffirmera sa détermination à respecter ses engagements financiers pris à Bonn et à contribuer au financement de la mise en oeuvre de la Convention et du Protocole.