Texte intégral
1. La France et l'Allemagne réaffirment leur soutien au plan Vance-Owen pour la recherche d'une solution de paix qui garantisse l'intégrité territoriale et la souveraineté de la Bosnie-Herzégovine.
- Elles déplorent la poursuite des combats sur place et lancent un appel pressant au respect du cessez-le-feu.
- Elles condamnent les bombardements des populations civiles musulmanes, les actions violentes et les pratiques d'intimidation, quelles que soient leur origine, telles qu'elles se développent aujourd'hui à Gorazde et Mostar.
- 2. Les deux pays ont réaffirmé leur refus d'accepter tout fait accompli fondé sur la force. A cet égard, ils ont confirmé leur détermination à n'envisager une levée des sanctions contre la Serbie et le Monténégro, décidées par la résolution 820 qu'après que les conditions énoncées dans les résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité aient été remplies, notamment celles concernant le retrait effectif des troupes des Serbes de Bosnie hors des territoires qu'elles occupent par la force.
- 3. La France et l'Allemagne renouvellent leur appui aux efforts des co-présidents de la Conférence sur l'Ex-Yougoslavie. Elles considèrent la création de zones de sécurité comme une nécessité pour la protection de la population civile bosniaque et comme un premier pas pour mettre en oeuvre, dans sa globalité, le plan Vance Owen.
- Elles soutiennent l'initiative française visant à faire adopter rapidement par le Conseil de Sécurité une résolution étendant le mandat de la FORPRONU, en vue de protéger de manière efficace les populations civiles.
- 4. L'Allemagne et la France rappellent leur engagement en faveur de toutes les autres mesures préconisées par les Douze et reprises par le programme commun d'action de Washington en vue d'une mise en oeuvre progressive du plan Vance-Owen, et qui portent entre autres sur la création d'un tribunal international, le contrôle de la fermeture des frontières de la Bosnie-Herzégovine et le mandat de la force des Nations unies en Croatie.
- 5. Les deux pays rappellent la nécessité pour la communauté internationale d'accentuer ses efforts pour prévenir toute extension du conflit aux zones sensibles du Kosovo, du Sandjak, de la Voivodine et de l'ex-république yougoslave de Macédoine.
- Elles déplorent la poursuite des combats sur place et lancent un appel pressant au respect du cessez-le-feu.
- Elles condamnent les bombardements des populations civiles musulmanes, les actions violentes et les pratiques d'intimidation, quelles que soient leur origine, telles qu'elles se développent aujourd'hui à Gorazde et Mostar.
- 2. Les deux pays ont réaffirmé leur refus d'accepter tout fait accompli fondé sur la force. A cet égard, ils ont confirmé leur détermination à n'envisager une levée des sanctions contre la Serbie et le Monténégro, décidées par la résolution 820 qu'après que les conditions énoncées dans les résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité aient été remplies, notamment celles concernant le retrait effectif des troupes des Serbes de Bosnie hors des territoires qu'elles occupent par la force.
- 3. La France et l'Allemagne renouvellent leur appui aux efforts des co-présidents de la Conférence sur l'Ex-Yougoslavie. Elles considèrent la création de zones de sécurité comme une nécessité pour la protection de la population civile bosniaque et comme un premier pas pour mettre en oeuvre, dans sa globalité, le plan Vance Owen.
- Elles soutiennent l'initiative française visant à faire adopter rapidement par le Conseil de Sécurité une résolution étendant le mandat de la FORPRONU, en vue de protéger de manière efficace les populations civiles.
- 4. L'Allemagne et la France rappellent leur engagement en faveur de toutes les autres mesures préconisées par les Douze et reprises par le programme commun d'action de Washington en vue d'une mise en oeuvre progressive du plan Vance-Owen, et qui portent entre autres sur la création d'un tribunal international, le contrôle de la fermeture des frontières de la Bosnie-Herzégovine et le mandat de la force des Nations unies en Croatie.
- 5. Les deux pays rappellent la nécessité pour la communauté internationale d'accentuer ses efforts pour prévenir toute extension du conflit aux zones sensibles du Kosovo, du Sandjak, de la Voivodine et de l'ex-république yougoslave de Macédoine.