Texte intégral
(Déclaration à Paris, le 18 juin 2002) :
Je voudrais dire toute mon horreur et ma révolte après le nouvel attentat terroriste perpétré ce matin à Jérusalem.
Aux familles des victimes de cet acte barbare, au peuple israélien, j'exprime la vive sympathie de la France dans le malheur qui les frappe.
Comme je l'ai déjà souligné, de tels actes discréditent leurs auteurs et desservent la cause qu'ils prétendent promouvoir. Le peuple palestinien ne doit pas être l'otage des terroristes. Chacun doit le comprendre en ces temps où la communauté internationale se mobilise pour faire avancer la paix.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 19 juin 2002)
(Déclaration à Paris le 19 juin 2002) :
Le terrorisme a encore frappé aujourd'hui à Jérusalem. Je condamne ce nouvel attentat de la façon la plus ferme. Rien ne justifie l'utilisation du terrorisme contre des innocents.
Je pense aux victimes, à leur famille, au peuple israélien tout entier, à qui je souhaite dire ma profonde émotion.
La violence ne peut constituer une solution. Elle ne fait que rendre plus urgente la reprise du dialogue politique.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le mardi 25 juin 2002)
Je voudrais dire toute mon horreur et ma révolte après le nouvel attentat terroriste perpétré ce matin à Jérusalem.
Aux familles des victimes de cet acte barbare, au peuple israélien, j'exprime la vive sympathie de la France dans le malheur qui les frappe.
Comme je l'ai déjà souligné, de tels actes discréditent leurs auteurs et desservent la cause qu'ils prétendent promouvoir. Le peuple palestinien ne doit pas être l'otage des terroristes. Chacun doit le comprendre en ces temps où la communauté internationale se mobilise pour faire avancer la paix.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 19 juin 2002)
(Déclaration à Paris le 19 juin 2002) :
Le terrorisme a encore frappé aujourd'hui à Jérusalem. Je condamne ce nouvel attentat de la façon la plus ferme. Rien ne justifie l'utilisation du terrorisme contre des innocents.
Je pense aux victimes, à leur famille, au peuple israélien tout entier, à qui je souhaite dire ma profonde émotion.
La violence ne peut constituer une solution. Elle ne fait que rendre plus urgente la reprise du dialogue politique.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le mardi 25 juin 2002)