Texte intégral
La France et l'Allemagne ont décidé d'oeuvrer en commun pour inciter les autres Etats à ratifier la Convention sur l'interdiction des armes chimiques. Nos deux pays font ainsi écho au souhait exprimé par le Conseil européen de Cannes que la Convention entre en vigueur sans délai.
- Il est en effet urgent que ce premier traité de désarmement à vocation universelle et effectivement vérifiable, ouvert à la signature le 13 janvier 1993 à Paris, et ratifié à ce stade par 32 Etats seulement, devienne une norme commune à tous les Etats. La Convention sur l'interdiction des armes chimiques offre en effet un gain de sécurité pour tous les Etats grâce à l'élimination totale d'une catégorie entière d'armes de destruction massive.
- C'est pourquoi M. de Charette et M. Kinkel ont adressé des messages similaires à leurs homologues des Etats qui avaient négocié la Convention dans le cadre de la Conférence du Désarmement, mais qui ne l'ont pas encore ratifiée. Les deux ministres ont notamment encouragé les efforts entrepris dans ce sens par les Etats-Unis et la Russie, les deux pays possédant les stocks d'armes chimiques les plus importants.
- Il est en effet urgent que ce premier traité de désarmement à vocation universelle et effectivement vérifiable, ouvert à la signature le 13 janvier 1993 à Paris, et ratifié à ce stade par 32 Etats seulement, devienne une norme commune à tous les Etats. La Convention sur l'interdiction des armes chimiques offre en effet un gain de sécurité pour tous les Etats grâce à l'élimination totale d'une catégorie entière d'armes de destruction massive.
- C'est pourquoi M. de Charette et M. Kinkel ont adressé des messages similaires à leurs homologues des Etats qui avaient négocié la Convention dans le cadre de la Conférence du Désarmement, mais qui ne l'ont pas encore ratifiée. Les deux ministres ont notamment encouragé les efforts entrepris dans ce sens par les Etats-Unis et la Russie, les deux pays possédant les stocks d'armes chimiques les plus importants.