Texte intégral
Le ministère des affaires étrangères et l'ambassade de France ont bien pris note des déclarations de l'Observatoire international des prisons, rapportés par l'AFP le 21 novembre dernier. Le ministère des affaires étrangères et l'ambassade de France sont bien informés de la situation des prisonniers français dans les prisons marocaines, qu'ils suivent avec une attention particulière. Il s'agit principalement de personnes arrêtées pour détention ou trafic de stupéfiants (au total 110 personnes actuellement). La question est évoquée régulièrement avec les autorités marocaines ; elle est aussi suivie à Quinze, au sein du groupe de coopération consulaire.
- Les prisonniers français sont fréquemment visités par les agents de nos consulats. Cette action est relayée par des associations locales que le ministère des affaires étrangères subventionne. Nos consulats généraux interviennent de façon multiforme dès qu'ils ont connaissance de l'arrestation ou de la détention d'un compatriote, et sont en contact avec la plupart des familles des détenus.
- Une convention permettant le transfèrement des prisonniers vers la France, où ils achèveront leur peine, est entrée en vigueur il y a quelques mois. Elle permet une amélioration des conditions de détention ; cependant tous les prisonniers français ne demandent pas à en bénéficier.
- Le ministère des affaires étrangères et l'ambassade de France ne peuvent donc que s'inscrire en faux contre les informations inexactes diffusées par l'OIP en ce qui concerne l'action des consulats français au Maroc.
- Les prisonniers français sont fréquemment visités par les agents de nos consulats. Cette action est relayée par des associations locales que le ministère des affaires étrangères subventionne. Nos consulats généraux interviennent de façon multiforme dès qu'ils ont connaissance de l'arrestation ou de la détention d'un compatriote, et sont en contact avec la plupart des familles des détenus.
- Une convention permettant le transfèrement des prisonniers vers la France, où ils achèveront leur peine, est entrée en vigueur il y a quelques mois. Elle permet une amélioration des conditions de détention ; cependant tous les prisonniers français ne demandent pas à en bénéficier.
- Le ministère des affaires étrangères et l'ambassade de France ne peuvent donc que s'inscrire en faux contre les informations inexactes diffusées par l'OIP en ce qui concerne l'action des consulats français au Maroc.