Texte intégral
Monsieur le Haut Commissaire,
Monsieur le Secrétaire Général,
Monsieur l'Administrateur Général,
Mesdames, Messieurs les Directeurs,
En présidant aujourd'hui ce Comité à l'énergie atomique, je souhaite, avec mes collègues du Gouvernement, pouvoir écouter les points de vue des différents participants et notamment de nos invités étrangers que je remercie vivement de leur participation ; je souhaite également pouvoir dialoguer avec tous pour que nous progressions ensemble vers la mise en oeuvre des meilleures conditions d'accueil en France de ce grand projet, et que nous convainquions de son intérêt nos partenaires. Cet échange me permettra d'assumer pleinement mon rôle de ministre en charge de la promotion de ce projet auprès de tous ceux qui sont concernés. Je me réjouis de travailler en équipe sur ce sujet comme sur les autres ; je suis convaincue que nous avons tous ici un objectif commun, le lancement du programme international ITER et l'implantation du Centre de recherche avec son réacteur en France, en Europe, à Cadarache.
Le choix de ce site a été confirmé il y a quelques jours par le Premier ministre. Il m'a confié la mission de cette promotion et je pense que nous y arriverons si nous nous mobilisons tous dans ce travail d'équipe. Chacun avec nos compétences, chacun à notre niveau, chacun en se coordonnant pleinement aux autres.
Nous allons entendre les meilleurs spécialistes français et internationaux au cours de cette réunion. Je mesure la somme de travail fournie par vous-même, Mesdames et Messieurs, celle de vos collaborateurs, celle de vos laboratoires, pour avoir réalisé et finalisé notre candidature, faire les choix et prendre les orientations techniques qui s'imposaient, motiver les scientifiques, les industriels, les autorités, nos concitoyens.
Jean Pierre Raffarin a dit, à mes collègues du gouvernement et à moi même, qu'il confirmait la candidature de Cadarache "pour gagner". J'apprécie cette détermination dans une compétition dont nous ne devons pas sous-estimer la concurrence !
Mais la France a les atouts pour et la volonté de gagner ce formidable défi, avec ses partenaires, afin d'offrir une alternative prometteuse à la production d'électricité, dans le respect du développement durable. C'est important pour la recherche nationale, pour le développement industriel et économique.
Je veux gagner aussi parce qu'ITER est un symbole fort, qui dépasse toute la communauté scientifique. C'est celui de la réalisation, dans notre pays, d'un projet mondial. Un projet mondial qui a pour objectif de nous donner les moyens de penser à l'avenir de la planète autrement. A quoi peut-on comparer le projet ITER ? Au rêve de la conquête de l'Espace ? Au déchiffrement des énigmes du vivant ? Peut-être beaucoup plus encore.
Aujourd'hui, la communauté scientifique et technique internationale sait que pour réussir, elle doit partir unie. Et ce n'est pas qu'une question de moyens financiers ou humains. C'est je crois aussi parce que profondément, nous savons que l'avenir de notre planète, vis-à-vis de nos besoins énergétiques, dépend de notre capacité à faire, ou ne pas faire, ensemble.
Je viens de citer le mot équipe. Pour gagner, je m'appuierai sur vous tous, sur chacun d'entre vous, sur chacune des institutions que vous représentez. Mes collègues, membres du gouvernement sont également mobilisés, dans leur domaine de compétence, au niveau national, comme international, pour présenter et convaincre des atouts de Cadarache : évidemment, s'agissant d'un choix international, au terme d'une procédure qui reste à définir, le rôle de Dominique de Villepin, ministre des affaires étrangères, de Noelle Lenoir, ministre déléguée aux affaires européennes, et de Renaud Muselier, secrétaire d'Etat aux affaires étrangères sera primordial. Monsieur le secrétaire général du ministère des affaires étrangères [NB : M Colin de Verdière], j'ai besoin de la compétence exceptionnelle de votre administration, et du réseau diplomatique et consulaire national.
Grâce à l'information précise que nous transmettront les ambassadeurs, et leurs collaborateurs, nous pourrons comprendre les objectifs des autres pays candidats, notamment des pays qui viennent de rejoindre le projet, et donc, être en temps réel, réactifs, et leur apporter des arguments aussi adaptés que possible. Il leur appartiendra donc de diffuser nos positions et de les expliquer.
Il y a dans ce domaine international, une priorité absolue vis-à-vis de l'Union européenne. Nous avons l'obligation de défendre Cadarache auprès de tous les décideurs européens, et nous avons la nécessité de comprendre comment notre dossier est perçu et expliqué par les porte-paroles français des instances européennes. Aujourd'hui, j'ai le sentiment que sur ce point, nous manquons d'informations, de relais, de méthodes. Pour ma part, que ce soit au sein du conseil compétitivité, auprès du commissaire Busquin, auprès de mes collègues ministres des 14 autres pays de l'Union, je remplirai mon rôle. Mais identifiez-moi s'il vous plait, quelles sont les cibles prioritaires, les thèmes essentiels. Je ne parle pas des délais, car vous avez tous compris que nous devons travailler vite.
Monsieur le ministre de l'Économie et Madame la ministre de l'Industrie se sont, eux aussi, exprimés fortement à la réunion de ministres du 30 janvier. Leur soutien, et leur compétence, me sont infiniment précieux. Monsieur le représentant du ministre [NB : M Maillard DGEMP], je compte sur la mobilisation de votre administration, mais aussi sur les autres directions, plus financières, ou tournées à l'international, pour jouer complètement votre rôle au sein des organismes dans lesquels vous siégez, notamment à Bruxelles, mais aussi dans toutes les autres enceintes internationales adaptées.
Ai-je besoin de dire que Madame la directrice de la Recherche et Monsieur le directeur de la Technologie, dont l'implication est depuis longtemps majeure, sont au premier chef à mes côtés, pour m'aider dans ma tache. Vous-même et vos collaborateurs, vous avez ma confiance, mais je sais, tout comme vous que nous allons être fortement mobilisés dans les prochains mois.
Monsieur le Haut Commissaire, Monsieur l'Administrateur général, la somme de travail fournie par vos collaborateurs est impressionnante. La qualité de ce qui est présenté est excellente. Le site de Cadarache est identifié au nom CEA. Je pense que c'est un atout majeur, pour la recherche, pour les synergies, mais aussi pour l'accueil de nos partenaires et des nouvelles équipes qui viendront travailler sur ITER. Une première étape a été franchie, la constitution du dossier. Je crois qu'à Saint-Petersbourg, la semaine prochaine, le rapport final du JASS ne pourra pas déceler de faiblesse dans notre offre. Mais une autre étape nous attend, c'est celle du processus qui aboutira au choix. Si j'osais, je dirais que dans la dernière ligne droite, tout ce qui a été fait jusqu'alors est considéré comme acquis, et que nous repartons presque à zéro. Ou du moins, plaçons-nous dans la perspective où nous sommes presque tous les quatre pays candidats à égalité, techniquement. Maintenant, aidez-moi sur un autre plan, en étant présents dans les instances internationales de tous ordres, en me rendant compte des différentes prises de positions, de leurs évolutions, notamment en raison du rôle des Etats-Unis et de la Chine, mais aussi bien sûr, du contexte international. Je vous remercie d'être, comme le seront les autres partenaires, mes porte-paroles, ceux du gouvernement.
Monsieur le Président du CNRS, vous-même, vos chercheurs, l'institution même qu'est le CNRS en France et à l'étranger, vous êtes tout autant un acteur clef de la réussite ou non de la candidature française. Vous aussi, vous devez démontrer que le site de Cadarache est un site de choix préférentiel, vous aussi vous devez porter le message que la France, non seulement en raison de son poids scientifique, mais aussi grâce à sa capacité d'accueil, remplira pleinement de manière inégalable les conditions que requiert le programme ITER. La crédibilité du projet français tient beaucoup à la réputation de vos équipes au plan international. Nombreux sont vos chercheurs, qui, remplissent des missions à l'étranger, quelle qu'en soit la durée, je vous remercie de me transmettre, grâce à ce réseau exceptionnel de compétence d'information la perception de notre candidature.
Mesdames et Messieurs, la mobilisation est nationale et internationale. Je sais aussi la force de la mobilisation locale. Nous devons aussi nous appuyer sur ce qu'elle peut représenter. Si certaines présentations doivent être améliorées, elles le seront. J'entretiens un dialogue constructif et de confiance avec les élus de la région concernée. J'y tiens, comme le Premier ministre y tient.
Moi-même, mes collaborateurs immédiats, font de cette candidature, notre priorité. Je viens de demander à Monsieur Christian Poncet d'être à mes côtés comme délégué à la promotion de la candidature de Cadarache pour l'implantation du Centre international de recherche ITER Il a pour mission de coordonner toutes les actions que j'ai évoquées. Chacun d'entre vous a sa spécificité, sa compétence, son champs d'action. Il n'est pas question d'empiéter sur quoi que ce soit qui restreindrait vos démarches, mais il est essentiel que la communication, que notre communication, soit unitaire, harmonieuse, utile. C'est ainsi que Christian Poncet travaillera avec vous.
Je crois ITER porteur de rêve, d'une formidable ambition pour notre planète, pour nos enfants et les générations futures, pour la science et la technique. Nous mettons à la fois le meilleur de nos compétences et de notre territoire à son service. Je souhaite vivement la réussite de l'Union européenne, de la France, comme de l'ensemble du projet au bénéfice de nos partenaires comme de nous-mêmes.
Il ne nous reste guère de temps pour transformer l'essai. Jouons ensemble gagnant, c'est votre intérêt, et c'est depuis des années mon principe d'action.
Je vous remercie de votre attention.
(Source http://www.recherche.gouv.fr, le 14 février 2003)
Monsieur le Secrétaire Général,
Monsieur l'Administrateur Général,
Mesdames, Messieurs les Directeurs,
En présidant aujourd'hui ce Comité à l'énergie atomique, je souhaite, avec mes collègues du Gouvernement, pouvoir écouter les points de vue des différents participants et notamment de nos invités étrangers que je remercie vivement de leur participation ; je souhaite également pouvoir dialoguer avec tous pour que nous progressions ensemble vers la mise en oeuvre des meilleures conditions d'accueil en France de ce grand projet, et que nous convainquions de son intérêt nos partenaires. Cet échange me permettra d'assumer pleinement mon rôle de ministre en charge de la promotion de ce projet auprès de tous ceux qui sont concernés. Je me réjouis de travailler en équipe sur ce sujet comme sur les autres ; je suis convaincue que nous avons tous ici un objectif commun, le lancement du programme international ITER et l'implantation du Centre de recherche avec son réacteur en France, en Europe, à Cadarache.
Le choix de ce site a été confirmé il y a quelques jours par le Premier ministre. Il m'a confié la mission de cette promotion et je pense que nous y arriverons si nous nous mobilisons tous dans ce travail d'équipe. Chacun avec nos compétences, chacun à notre niveau, chacun en se coordonnant pleinement aux autres.
Nous allons entendre les meilleurs spécialistes français et internationaux au cours de cette réunion. Je mesure la somme de travail fournie par vous-même, Mesdames et Messieurs, celle de vos collaborateurs, celle de vos laboratoires, pour avoir réalisé et finalisé notre candidature, faire les choix et prendre les orientations techniques qui s'imposaient, motiver les scientifiques, les industriels, les autorités, nos concitoyens.
Jean Pierre Raffarin a dit, à mes collègues du gouvernement et à moi même, qu'il confirmait la candidature de Cadarache "pour gagner". J'apprécie cette détermination dans une compétition dont nous ne devons pas sous-estimer la concurrence !
Mais la France a les atouts pour et la volonté de gagner ce formidable défi, avec ses partenaires, afin d'offrir une alternative prometteuse à la production d'électricité, dans le respect du développement durable. C'est important pour la recherche nationale, pour le développement industriel et économique.
Je veux gagner aussi parce qu'ITER est un symbole fort, qui dépasse toute la communauté scientifique. C'est celui de la réalisation, dans notre pays, d'un projet mondial. Un projet mondial qui a pour objectif de nous donner les moyens de penser à l'avenir de la planète autrement. A quoi peut-on comparer le projet ITER ? Au rêve de la conquête de l'Espace ? Au déchiffrement des énigmes du vivant ? Peut-être beaucoup plus encore.
Aujourd'hui, la communauté scientifique et technique internationale sait que pour réussir, elle doit partir unie. Et ce n'est pas qu'une question de moyens financiers ou humains. C'est je crois aussi parce que profondément, nous savons que l'avenir de notre planète, vis-à-vis de nos besoins énergétiques, dépend de notre capacité à faire, ou ne pas faire, ensemble.
Je viens de citer le mot équipe. Pour gagner, je m'appuierai sur vous tous, sur chacun d'entre vous, sur chacune des institutions que vous représentez. Mes collègues, membres du gouvernement sont également mobilisés, dans leur domaine de compétence, au niveau national, comme international, pour présenter et convaincre des atouts de Cadarache : évidemment, s'agissant d'un choix international, au terme d'une procédure qui reste à définir, le rôle de Dominique de Villepin, ministre des affaires étrangères, de Noelle Lenoir, ministre déléguée aux affaires européennes, et de Renaud Muselier, secrétaire d'Etat aux affaires étrangères sera primordial. Monsieur le secrétaire général du ministère des affaires étrangères [NB : M Colin de Verdière], j'ai besoin de la compétence exceptionnelle de votre administration, et du réseau diplomatique et consulaire national.
Grâce à l'information précise que nous transmettront les ambassadeurs, et leurs collaborateurs, nous pourrons comprendre les objectifs des autres pays candidats, notamment des pays qui viennent de rejoindre le projet, et donc, être en temps réel, réactifs, et leur apporter des arguments aussi adaptés que possible. Il leur appartiendra donc de diffuser nos positions et de les expliquer.
Il y a dans ce domaine international, une priorité absolue vis-à-vis de l'Union européenne. Nous avons l'obligation de défendre Cadarache auprès de tous les décideurs européens, et nous avons la nécessité de comprendre comment notre dossier est perçu et expliqué par les porte-paroles français des instances européennes. Aujourd'hui, j'ai le sentiment que sur ce point, nous manquons d'informations, de relais, de méthodes. Pour ma part, que ce soit au sein du conseil compétitivité, auprès du commissaire Busquin, auprès de mes collègues ministres des 14 autres pays de l'Union, je remplirai mon rôle. Mais identifiez-moi s'il vous plait, quelles sont les cibles prioritaires, les thèmes essentiels. Je ne parle pas des délais, car vous avez tous compris que nous devons travailler vite.
Monsieur le ministre de l'Économie et Madame la ministre de l'Industrie se sont, eux aussi, exprimés fortement à la réunion de ministres du 30 janvier. Leur soutien, et leur compétence, me sont infiniment précieux. Monsieur le représentant du ministre [NB : M Maillard DGEMP], je compte sur la mobilisation de votre administration, mais aussi sur les autres directions, plus financières, ou tournées à l'international, pour jouer complètement votre rôle au sein des organismes dans lesquels vous siégez, notamment à Bruxelles, mais aussi dans toutes les autres enceintes internationales adaptées.
Ai-je besoin de dire que Madame la directrice de la Recherche et Monsieur le directeur de la Technologie, dont l'implication est depuis longtemps majeure, sont au premier chef à mes côtés, pour m'aider dans ma tache. Vous-même et vos collaborateurs, vous avez ma confiance, mais je sais, tout comme vous que nous allons être fortement mobilisés dans les prochains mois.
Monsieur le Haut Commissaire, Monsieur l'Administrateur général, la somme de travail fournie par vos collaborateurs est impressionnante. La qualité de ce qui est présenté est excellente. Le site de Cadarache est identifié au nom CEA. Je pense que c'est un atout majeur, pour la recherche, pour les synergies, mais aussi pour l'accueil de nos partenaires et des nouvelles équipes qui viendront travailler sur ITER. Une première étape a été franchie, la constitution du dossier. Je crois qu'à Saint-Petersbourg, la semaine prochaine, le rapport final du JASS ne pourra pas déceler de faiblesse dans notre offre. Mais une autre étape nous attend, c'est celle du processus qui aboutira au choix. Si j'osais, je dirais que dans la dernière ligne droite, tout ce qui a été fait jusqu'alors est considéré comme acquis, et que nous repartons presque à zéro. Ou du moins, plaçons-nous dans la perspective où nous sommes presque tous les quatre pays candidats à égalité, techniquement. Maintenant, aidez-moi sur un autre plan, en étant présents dans les instances internationales de tous ordres, en me rendant compte des différentes prises de positions, de leurs évolutions, notamment en raison du rôle des Etats-Unis et de la Chine, mais aussi bien sûr, du contexte international. Je vous remercie d'être, comme le seront les autres partenaires, mes porte-paroles, ceux du gouvernement.
Monsieur le Président du CNRS, vous-même, vos chercheurs, l'institution même qu'est le CNRS en France et à l'étranger, vous êtes tout autant un acteur clef de la réussite ou non de la candidature française. Vous aussi, vous devez démontrer que le site de Cadarache est un site de choix préférentiel, vous aussi vous devez porter le message que la France, non seulement en raison de son poids scientifique, mais aussi grâce à sa capacité d'accueil, remplira pleinement de manière inégalable les conditions que requiert le programme ITER. La crédibilité du projet français tient beaucoup à la réputation de vos équipes au plan international. Nombreux sont vos chercheurs, qui, remplissent des missions à l'étranger, quelle qu'en soit la durée, je vous remercie de me transmettre, grâce à ce réseau exceptionnel de compétence d'information la perception de notre candidature.
Mesdames et Messieurs, la mobilisation est nationale et internationale. Je sais aussi la force de la mobilisation locale. Nous devons aussi nous appuyer sur ce qu'elle peut représenter. Si certaines présentations doivent être améliorées, elles le seront. J'entretiens un dialogue constructif et de confiance avec les élus de la région concernée. J'y tiens, comme le Premier ministre y tient.
Moi-même, mes collaborateurs immédiats, font de cette candidature, notre priorité. Je viens de demander à Monsieur Christian Poncet d'être à mes côtés comme délégué à la promotion de la candidature de Cadarache pour l'implantation du Centre international de recherche ITER Il a pour mission de coordonner toutes les actions que j'ai évoquées. Chacun d'entre vous a sa spécificité, sa compétence, son champs d'action. Il n'est pas question d'empiéter sur quoi que ce soit qui restreindrait vos démarches, mais il est essentiel que la communication, que notre communication, soit unitaire, harmonieuse, utile. C'est ainsi que Christian Poncet travaillera avec vous.
Je crois ITER porteur de rêve, d'une formidable ambition pour notre planète, pour nos enfants et les générations futures, pour la science et la technique. Nous mettons à la fois le meilleur de nos compétences et de notre territoire à son service. Je souhaite vivement la réussite de l'Union européenne, de la France, comme de l'ensemble du projet au bénéfice de nos partenaires comme de nous-mêmes.
Il ne nous reste guère de temps pour transformer l'essai. Jouons ensemble gagnant, c'est votre intérêt, et c'est depuis des années mon principe d'action.
Je vous remercie de votre attention.
(Source http://www.recherche.gouv.fr, le 14 février 2003)