Texte intégral
Monsieur le Chef du gouvernement,
Au moment où vous prenez vos fonctions à la tête du gouvernement algérien, j'ai le plaisir de vous adresser, en mon nom personnel et au nom du gouvernement français, mes chaleureuses félicitations et mes vux de plein succès dans votre nouvelle et haute mission.
Je souhaite également vous faire part de l'émotion très vive ressentie en France à la suite du tremblement de terre qui a frappé le 22 décembre le nord-ouest algérien et je vous transmets les sincères condoléances du gouvernement.
En vous assurant de la solidarité du peuple français, je voudrais enfin vous confirmer toute l'importance qu'attachent les autorités françaises au renforcement, dans tous les domaines, des relations entre la France et l'Algérie.
Depuis l'élection du président Bouteflika, que j'ai eu le plaisir de rencontrer à New York en septembre dernier, les contacts politiques entre nos deux pays se sont sensiblement développés.
Les gouvernements français et algérien ont accéléré l'instruction des dossiers les plus importants, notamment sur les questions de circulations des personnes, de promotion des échanges culturels et de liaisons entre nos deux pays.
Il s'agit maintenant de parvenir à des résultats concrets. Je souhaite, dans cette perspective, que les membres de nos deux gouvernements puissent rapidement se rencontrer et je vous assure de ma disponibilité personnelle et de mon engagement résolu.
En attendant d'avoir le plaisir de vous rencontrer, je vous prie d'agréer, Monsieur le Chef du gouvernement, l'expression de ma haute considération.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 28 décembre 1999)
Au moment où vous prenez vos fonctions à la tête du gouvernement algérien, j'ai le plaisir de vous adresser, en mon nom personnel et au nom du gouvernement français, mes chaleureuses félicitations et mes vux de plein succès dans votre nouvelle et haute mission.
Je souhaite également vous faire part de l'émotion très vive ressentie en France à la suite du tremblement de terre qui a frappé le 22 décembre le nord-ouest algérien et je vous transmets les sincères condoléances du gouvernement.
En vous assurant de la solidarité du peuple français, je voudrais enfin vous confirmer toute l'importance qu'attachent les autorités françaises au renforcement, dans tous les domaines, des relations entre la France et l'Algérie.
Depuis l'élection du président Bouteflika, que j'ai eu le plaisir de rencontrer à New York en septembre dernier, les contacts politiques entre nos deux pays se sont sensiblement développés.
Les gouvernements français et algérien ont accéléré l'instruction des dossiers les plus importants, notamment sur les questions de circulations des personnes, de promotion des échanges culturels et de liaisons entre nos deux pays.
Il s'agit maintenant de parvenir à des résultats concrets. Je souhaite, dans cette perspective, que les membres de nos deux gouvernements puissent rapidement se rencontrer et je vous assure de ma disponibilité personnelle et de mon engagement résolu.
En attendant d'avoir le plaisir de vous rencontrer, je vous prie d'agréer, Monsieur le Chef du gouvernement, l'expression de ma haute considération.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 28 décembre 1999)