Texte intégral
Chers collègues et amis,
- Les mandats locaux et nationaux que j'ai occupés depuis la Libération jusqu'à mon élection à la Présidence de la République en 1981 vous permettront, je pense, de me considérer encore comme l'un des vôtres.
- Ce congrès a lieu alors que se mettent en place les derniers textes relatifs à la grande oeuvre de décentralisation que nous avons -entreprise depuis cinq ans et dont les grands principes avaient été au coeur des revendications de votre organisation.
- Les Français voient peu à peu vivre ces nouvelles libertés locales, qui ont été le premier objectif de cette vaste réforme, sans précédent depuis la Révolution et le Premier Empire.
- Mais il n'y aurait pas de nouveaux espaces de libertés dans les régions, les départements et les communes sans des hommes et des femmes décidés à les défendre et à les développer.
- Je sais que cette tâche ambitieuse reste votre première préoccupation.
- C'est elle qui a justifié votre engagement dans la vie locale et nationale.
- C'est elle qui doit sortir renforcée de vos travaux, auxquels je souhaite un plein succès.
- Je vous adresse, chers amis, l'expression de mes cordiales et fidèles pensées.
- Les mandats locaux et nationaux que j'ai occupés depuis la Libération jusqu'à mon élection à la Présidence de la République en 1981 vous permettront, je pense, de me considérer encore comme l'un des vôtres.
- Ce congrès a lieu alors que se mettent en place les derniers textes relatifs à la grande oeuvre de décentralisation que nous avons -entreprise depuis cinq ans et dont les grands principes avaient été au coeur des revendications de votre organisation.
- Les Français voient peu à peu vivre ces nouvelles libertés locales, qui ont été le premier objectif de cette vaste réforme, sans précédent depuis la Révolution et le Premier Empire.
- Mais il n'y aurait pas de nouveaux espaces de libertés dans les régions, les départements et les communes sans des hommes et des femmes décidés à les défendre et à les développer.
- Je sais que cette tâche ambitieuse reste votre première préoccupation.
- C'est elle qui a justifié votre engagement dans la vie locale et nationale.
- C'est elle qui doit sortir renforcée de vos travaux, auxquels je souhaite un plein succès.
- Je vous adresse, chers amis, l'expression de mes cordiales et fidèles pensées.