Texte intégral
Bonjour mesdames,
messieurs.
Je voudrais vous dire combien j'ai été heureux de recevoir le président du gouvernement italien et de pouvoir mener avec lui une séance de travail approfondi, à la fois sur la situation internationale, sur la construction européenne et nos relations bilatérales. J'étais particulièrement intéressé par la présentation de monsieur Berlusconi sur ce qu'il considère être les priorités de la présidence italienne pour l'Union européenne, à partir du deuxième semestre de 2003. Nous avons parlé des institutions européennes, de la Convention européenne ; nous avons échangé nos propositions, vu que nous avons une grande proximité de vues sur l'avenir de l'Union européenne. Nous avons aussi parlé des échanges bilatéraux, de développement de projets économiques, de rapprochement de nos entreprises. Nos deux économies, nos deux pays ont des grandes proximités et nous souhaitons renforcer les partenariats entre nos entreprises, non seulement les grandes mais aussi les petites, et développer des échanges qui soient fructueux pour l'emploi et pour la croissance. Nous avons évoqué plusieurs sujets importants dans nos relations bilatérales et j'ai confirmé, en ce qui concerne le projet Lyon Turin, les engagements de la France. Nous sommes très motivés sur ce projet qui sera l'un des grands projets que nous présenterons à l'occasion d'un comité interministériel de l'aménagement du territoire, un CIADT, que je souhaite pouvoir organiser à l'automne prochain, qui pourra nous permettre de tenir les engagements, et quant au calendrier et quant au programme, tel qu'il a été pris par les deux gouvernements, italien et français. Nous souhaitons pouvoir, à l'automne prochain, présenter des grands projets qui sont des projets d'infrastructure, d'aménagement du territoire, qui puissent mobiliser de nombreuses énergies pour faire en sorte que la France vive son espace européen avec la meilleure des communications possible. Voilà quelques éléments, mais je vais laisser avec plaisir la parole à monsieur Silvio Berlusconi, le président du gouvernement italien."
(Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 6 juin 2003)
messieurs.
Je voudrais vous dire combien j'ai été heureux de recevoir le président du gouvernement italien et de pouvoir mener avec lui une séance de travail approfondi, à la fois sur la situation internationale, sur la construction européenne et nos relations bilatérales. J'étais particulièrement intéressé par la présentation de monsieur Berlusconi sur ce qu'il considère être les priorités de la présidence italienne pour l'Union européenne, à partir du deuxième semestre de 2003. Nous avons parlé des institutions européennes, de la Convention européenne ; nous avons échangé nos propositions, vu que nous avons une grande proximité de vues sur l'avenir de l'Union européenne. Nous avons aussi parlé des échanges bilatéraux, de développement de projets économiques, de rapprochement de nos entreprises. Nos deux économies, nos deux pays ont des grandes proximités et nous souhaitons renforcer les partenariats entre nos entreprises, non seulement les grandes mais aussi les petites, et développer des échanges qui soient fructueux pour l'emploi et pour la croissance. Nous avons évoqué plusieurs sujets importants dans nos relations bilatérales et j'ai confirmé, en ce qui concerne le projet Lyon Turin, les engagements de la France. Nous sommes très motivés sur ce projet qui sera l'un des grands projets que nous présenterons à l'occasion d'un comité interministériel de l'aménagement du territoire, un CIADT, que je souhaite pouvoir organiser à l'automne prochain, qui pourra nous permettre de tenir les engagements, et quant au calendrier et quant au programme, tel qu'il a été pris par les deux gouvernements, italien et français. Nous souhaitons pouvoir, à l'automne prochain, présenter des grands projets qui sont des projets d'infrastructure, d'aménagement du territoire, qui puissent mobiliser de nombreuses énergies pour faire en sorte que la France vive son espace européen avec la meilleure des communications possible. Voilà quelques éléments, mais je vais laisser avec plaisir la parole à monsieur Silvio Berlusconi, le président du gouvernement italien."
(Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 6 juin 2003)