Texte intégral
Monsieur le Premier ministre,
Mes chers amis,
Nous sommes fiers et heureux, nous les Hauts-Savoyards, représentés ici par l'équipe des jeunes de l'UMP de Haute-Savoie, par Virginie Muller, leur délégué Jeunes, par tous nos militants, élus et parlementaires, Martial Saddier, Secrétaire départemental, Marc Francina, Député-Maire d'Evian et Claude Birraux avec nos sénateurs Pierre Hérisson et Jean-Claude Carles, en campagne pour leur réélection.
Nous sommes fiers de vous accueillir, ici, à Avoriaz, au cur des Alpes, dans un des plus beaux domaines skiables, entre le Mont-Blanc et le Lac Leman, qui porte le nom fort de "Portes du Soleil". Tout un symbole pour la réflexion et le travail de jeunes engagés en politique comme vous, engagés dans un mouvement politique qui, lui aussi, est jeune et tourné vers l'avenir de la France.
Merci Virginie, merci aux jeunes de Haute-Savoie, merci à l'équipe nationale, merci et bravo à Marie Guévenoux. Merci également à notre direction nationale, sans elle rien n'aurait été possible : Jean-claude Gaudin, Philippe Douste-Blazy, François Baroin, en qui tous nos espoirs reposent. Puis, bien sûr, un très grand et très profond merci à ceux qui, rue La Boétie, ont uvré depuis de nombreux mois pour qu'ici, à Avoriaz, ce soit une grande réussite.
Mais, vous me permettrez de remercier avec encore une ferveur plus particulière, avec une émotion encore plus grande, celui sans qui l'UMP n'aurait pas pu se développer, se bâtir et aujourd'hui offrir à notre parti un véritable tremplin d'avenir, j'ai nommé le plus fidèle d'entre nous : Alain Juppé.
Mes chers amis, ces trois journées auront été marquées par la densité de vos travaux, de nos travaux, pour notre si beau et grand pays. Elles auront été également marquées par une certaine gravité, en raison du carnage effroyable dans le Caucase du Nord, en raison aussi de la situation de nos deux compatriotes journalistes retenus en otage en Irak.
Nous mesurons, à l'occasion de ces crimes et de l'ampleur de ces drames, leur portée aujourd'hui et l'inquiétude qu'ils portent en eux pour l'avenir. Nous mesurons également, et peut-être avant tout, l'importance pour la France d'avoir en son cur, et ce mot est le bon, quelqu'un ayant une vision de la vie du monde, de son histoire, de l'histoire des peuples, de l'avenir des Nations, de l'histoire des religions, de notre destin commun au-delà du destin national, le président de la République, Jacques Chirac.
Nous sommes fiers que ces journées aient finalement permis de partager trois thèmes, trois pages importantes de la vie politique de la France.
D'abord, ce rassemblement de jeunes engagés en politique, celui que vous constituez, ce vivier d'intelligence, de force, de générosité, sera, je n'en doute pas, au cur de la France de demain. Merci de votre engagement.
Nous sommes fiers également, qu'ici, en Haute-Savoie, se soit écrit le début d'une page très importante de notre jeune mouvement, l'UMP : La première des pages de son renouvellement démocratique avec l'élection de son président.
Les candidats sont nombreux, ils ne sont pas tous aussi connus les uns que les autres, mais nous les avons entendu avec joie et sérénité, s'exprimer avec une vision d'avenir, une vision d'unité. Nous avons entendu Nicolas Sarkozy s'engager demain pour l'unité, pour la fidélité au gouvernement et au président de la République, Jacques Chirac.
Mais, aujourd'hui, ce dont nous devons être le plus fiers, c'est de ce qui s'est passé en France depuis plus de deux ans, c'est ce qu'un homme au courage incomparable a porté. Il a affronté les oppositions politiques, des oppositions de posture et de convenance, et, toujours, suivant la direction tracée par le président de la République, il a conduit le gouvernement de la France sur la voie de grandes réformes. C'est Jean-Pierre Raffarin, notre Premier ministre.
Oui, monsieur le Premier ministre, cher Jean-Pierre, oui, nous sommes fiers de toi, comme nous sommes fiers des gouvernements que tu as bien voulu animer avec autant de dévouement, de talent, de persévérance et de fidélité irréprochables.
Tu es déjà le Premier ministre de la Ve République avec un bilan de réformes profondes, régaliennes, économiques et sociales, pour l'avenir de notre pays, des plus conséquents et qui, j'en suis sûr, le restera longtemps.
Nous sommes fiers, mon cher Jean-Pierre, des réformes ayant permis à la France de retrouver, sous ton impulsion, avec Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, la sécurité que les socialistes avaient laissée se dégrader. Nous sommes fiers d'une justice dont le fonctionnement se réforme, sous ton impulsion, avec Dominique Perben. Nous sommes fiers d'une armée française, d'une défense nationale qui désormais est à nouveau crédible, avec Michèle Alliot-Marie, sous l'impulsion de Jacques Chirac.
Nous sommes fiers des réformes sans cesse repoussées par la gauche, par manque de courage politique et dont nous avons payé le prix fort électoral, mais c'est cela le courage politique. Nous sommes fiers de la réforme des retraites qui assure un avenir à tous les Français, avec François Fillon. Nous sommes fiers de la réforme de l'assurance maladie sans laquelle la sécurité sociale courait vers la cessation de paiement, avec Philippe Douste-Blazy et Xavier Bertrand.
Comme nous sommes fiers de toutes ces mesures permettant à la France d'être aujourd'hui en position pour profiter de la reprise et connaître enfin la baisse du chômage. Qu'il s'agisse des mesures pour lutter contre les effets particulièrement mauvais des 35 heures généralisées et obligatoires, tout comme de la baisse de l'impôt sur le revenu de 10 % pourtant critiquée par certains qui se disaient nos alliés, ils avaient tort, tu as eu raison Jean-Pierre. D'autant que tu n'as pas oublié ceux qui ne paient pas l'impôt sur le revenu et pour lesquels tu as consacré 800 millions d'euros avec la prime pour l'emploi réévaluée.
Nous sommes fiers aussi de ce qui a été fait pour libérer les énergies et créer des entreprises comme jamais il n'en a été créé dans notre pays, alléger la taxe professionnelle et permettre à nos entreprises de créer les emplois, parce que c'est leur vocation et non pas celle de l'Etat, comme le pensent les socialistes.
Mon cher Jean-Pierre, tu peux compter sur nous et je le dis en tant que député mais également avec toute la fierté du président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, en saluant et en associant les nombreux parlementaires de toute la France présents ici à Avoriaz et, en particulier, vous le comprendrez, mes amis députés, que je vous demande d'applaudir.
Nous t'accompagnerons et tu pourras compter sur nous, sur notre fidélité, notre soutien, notre engagement à améliorer les textes pour les réformes importantes qui restent à faire.
Celle d'abord, d'un vrai plan de cohésion sociale parce qu'il faut que tous les Français participent à la vie de la Nation et partagent les richesses ainsi créées.
Celle ensuite, d'un régime devenu malheureusement complètement dépassé, celui de notre système d'éducation sociale, à revoir. Nous nous y engagerons à tes côtés.
Egalement, pour poursuivre la réforme de l'Etat, tu pourras compter sur notre groupe parlementaire, pour progresser dans l'allègement des charges et pourquoi pas repenser une grande partie de la manière dont sont déclinées les 35 heures, avec des contrats à 120 % puisqu'il en existe à 80 %, avec également, en marge de manuvre, l'intéressement au lieu de cette surtaxe du coût du travail imposée par les socialistes.
Tu pourras compter sur nous pour des propositions sur la fiscalité, en la déplaçant du secteur de la production, de la fabrication ou de la transformation, vers celui de la distribution, en réalité le bras armé du plus mauvais effet de la mondialisation. Il y a là une réflexion extrêmement importante que nous conduirons avec toi.
Voilà mon cher Jean-Pierre, voilà chers amis, un gouvernement que nous remercions d'être venu aussi nombreux à Avoriaz et que nous remercions pour son travail inlassable. Voilà comment, ici, avec les jeunes et demain, avec le mouvement, dont je sais que celui qui le présidera a désormais comme seule priorité l'unité de l'UMP, décisive pour l'avenir de la France, le soutien fidèle au gouvernement et également la fidélité absolue au président de la République.
Voilà pourquoi nous sommes fiers d'être des militants de l'UMP. Voilà pourquoi nous sommes fiers d'avoir pu partager ces trois jours, à Avoriaz, pour la France.
(Source http://www.u-m-p.org, le 10 septembre 2004)
Mes chers amis,
Nous sommes fiers et heureux, nous les Hauts-Savoyards, représentés ici par l'équipe des jeunes de l'UMP de Haute-Savoie, par Virginie Muller, leur délégué Jeunes, par tous nos militants, élus et parlementaires, Martial Saddier, Secrétaire départemental, Marc Francina, Député-Maire d'Evian et Claude Birraux avec nos sénateurs Pierre Hérisson et Jean-Claude Carles, en campagne pour leur réélection.
Nous sommes fiers de vous accueillir, ici, à Avoriaz, au cur des Alpes, dans un des plus beaux domaines skiables, entre le Mont-Blanc et le Lac Leman, qui porte le nom fort de "Portes du Soleil". Tout un symbole pour la réflexion et le travail de jeunes engagés en politique comme vous, engagés dans un mouvement politique qui, lui aussi, est jeune et tourné vers l'avenir de la France.
Merci Virginie, merci aux jeunes de Haute-Savoie, merci à l'équipe nationale, merci et bravo à Marie Guévenoux. Merci également à notre direction nationale, sans elle rien n'aurait été possible : Jean-claude Gaudin, Philippe Douste-Blazy, François Baroin, en qui tous nos espoirs reposent. Puis, bien sûr, un très grand et très profond merci à ceux qui, rue La Boétie, ont uvré depuis de nombreux mois pour qu'ici, à Avoriaz, ce soit une grande réussite.
Mais, vous me permettrez de remercier avec encore une ferveur plus particulière, avec une émotion encore plus grande, celui sans qui l'UMP n'aurait pas pu se développer, se bâtir et aujourd'hui offrir à notre parti un véritable tremplin d'avenir, j'ai nommé le plus fidèle d'entre nous : Alain Juppé.
Mes chers amis, ces trois journées auront été marquées par la densité de vos travaux, de nos travaux, pour notre si beau et grand pays. Elles auront été également marquées par une certaine gravité, en raison du carnage effroyable dans le Caucase du Nord, en raison aussi de la situation de nos deux compatriotes journalistes retenus en otage en Irak.
Nous mesurons, à l'occasion de ces crimes et de l'ampleur de ces drames, leur portée aujourd'hui et l'inquiétude qu'ils portent en eux pour l'avenir. Nous mesurons également, et peut-être avant tout, l'importance pour la France d'avoir en son cur, et ce mot est le bon, quelqu'un ayant une vision de la vie du monde, de son histoire, de l'histoire des peuples, de l'avenir des Nations, de l'histoire des religions, de notre destin commun au-delà du destin national, le président de la République, Jacques Chirac.
Nous sommes fiers que ces journées aient finalement permis de partager trois thèmes, trois pages importantes de la vie politique de la France.
D'abord, ce rassemblement de jeunes engagés en politique, celui que vous constituez, ce vivier d'intelligence, de force, de générosité, sera, je n'en doute pas, au cur de la France de demain. Merci de votre engagement.
Nous sommes fiers également, qu'ici, en Haute-Savoie, se soit écrit le début d'une page très importante de notre jeune mouvement, l'UMP : La première des pages de son renouvellement démocratique avec l'élection de son président.
Les candidats sont nombreux, ils ne sont pas tous aussi connus les uns que les autres, mais nous les avons entendu avec joie et sérénité, s'exprimer avec une vision d'avenir, une vision d'unité. Nous avons entendu Nicolas Sarkozy s'engager demain pour l'unité, pour la fidélité au gouvernement et au président de la République, Jacques Chirac.
Mais, aujourd'hui, ce dont nous devons être le plus fiers, c'est de ce qui s'est passé en France depuis plus de deux ans, c'est ce qu'un homme au courage incomparable a porté. Il a affronté les oppositions politiques, des oppositions de posture et de convenance, et, toujours, suivant la direction tracée par le président de la République, il a conduit le gouvernement de la France sur la voie de grandes réformes. C'est Jean-Pierre Raffarin, notre Premier ministre.
Oui, monsieur le Premier ministre, cher Jean-Pierre, oui, nous sommes fiers de toi, comme nous sommes fiers des gouvernements que tu as bien voulu animer avec autant de dévouement, de talent, de persévérance et de fidélité irréprochables.
Tu es déjà le Premier ministre de la Ve République avec un bilan de réformes profondes, régaliennes, économiques et sociales, pour l'avenir de notre pays, des plus conséquents et qui, j'en suis sûr, le restera longtemps.
Nous sommes fiers, mon cher Jean-Pierre, des réformes ayant permis à la France de retrouver, sous ton impulsion, avec Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, la sécurité que les socialistes avaient laissée se dégrader. Nous sommes fiers d'une justice dont le fonctionnement se réforme, sous ton impulsion, avec Dominique Perben. Nous sommes fiers d'une armée française, d'une défense nationale qui désormais est à nouveau crédible, avec Michèle Alliot-Marie, sous l'impulsion de Jacques Chirac.
Nous sommes fiers des réformes sans cesse repoussées par la gauche, par manque de courage politique et dont nous avons payé le prix fort électoral, mais c'est cela le courage politique. Nous sommes fiers de la réforme des retraites qui assure un avenir à tous les Français, avec François Fillon. Nous sommes fiers de la réforme de l'assurance maladie sans laquelle la sécurité sociale courait vers la cessation de paiement, avec Philippe Douste-Blazy et Xavier Bertrand.
Comme nous sommes fiers de toutes ces mesures permettant à la France d'être aujourd'hui en position pour profiter de la reprise et connaître enfin la baisse du chômage. Qu'il s'agisse des mesures pour lutter contre les effets particulièrement mauvais des 35 heures généralisées et obligatoires, tout comme de la baisse de l'impôt sur le revenu de 10 % pourtant critiquée par certains qui se disaient nos alliés, ils avaient tort, tu as eu raison Jean-Pierre. D'autant que tu n'as pas oublié ceux qui ne paient pas l'impôt sur le revenu et pour lesquels tu as consacré 800 millions d'euros avec la prime pour l'emploi réévaluée.
Nous sommes fiers aussi de ce qui a été fait pour libérer les énergies et créer des entreprises comme jamais il n'en a été créé dans notre pays, alléger la taxe professionnelle et permettre à nos entreprises de créer les emplois, parce que c'est leur vocation et non pas celle de l'Etat, comme le pensent les socialistes.
Mon cher Jean-Pierre, tu peux compter sur nous et je le dis en tant que député mais également avec toute la fierté du président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, en saluant et en associant les nombreux parlementaires de toute la France présents ici à Avoriaz et, en particulier, vous le comprendrez, mes amis députés, que je vous demande d'applaudir.
Nous t'accompagnerons et tu pourras compter sur nous, sur notre fidélité, notre soutien, notre engagement à améliorer les textes pour les réformes importantes qui restent à faire.
Celle d'abord, d'un vrai plan de cohésion sociale parce qu'il faut que tous les Français participent à la vie de la Nation et partagent les richesses ainsi créées.
Celle ensuite, d'un régime devenu malheureusement complètement dépassé, celui de notre système d'éducation sociale, à revoir. Nous nous y engagerons à tes côtés.
Egalement, pour poursuivre la réforme de l'Etat, tu pourras compter sur notre groupe parlementaire, pour progresser dans l'allègement des charges et pourquoi pas repenser une grande partie de la manière dont sont déclinées les 35 heures, avec des contrats à 120 % puisqu'il en existe à 80 %, avec également, en marge de manuvre, l'intéressement au lieu de cette surtaxe du coût du travail imposée par les socialistes.
Tu pourras compter sur nous pour des propositions sur la fiscalité, en la déplaçant du secteur de la production, de la fabrication ou de la transformation, vers celui de la distribution, en réalité le bras armé du plus mauvais effet de la mondialisation. Il y a là une réflexion extrêmement importante que nous conduirons avec toi.
Voilà mon cher Jean-Pierre, voilà chers amis, un gouvernement que nous remercions d'être venu aussi nombreux à Avoriaz et que nous remercions pour son travail inlassable. Voilà comment, ici, avec les jeunes et demain, avec le mouvement, dont je sais que celui qui le présidera a désormais comme seule priorité l'unité de l'UMP, décisive pour l'avenir de la France, le soutien fidèle au gouvernement et également la fidélité absolue au président de la République.
Voilà pourquoi nous sommes fiers d'être des militants de l'UMP. Voilà pourquoi nous sommes fiers d'avoir pu partager ces trois jours, à Avoriaz, pour la France.
(Source http://www.u-m-p.org, le 10 septembre 2004)