Texte intégral
Au moment où je m'exprime ici à New York, nous avons appris que l'un des otages américains, Eugène Armstrong, avait été sauvagement décapité.
Le président de la République a eu l'occasion, ici même, de dire l'horreur que nous ressentons tous profondément devant cet acte barbare et devant les images qui en ont été diffusées.
Je veux à mon tour dire toute mon émotion et toute ma sympathie à la famille de M. Armstrong et au peuple américain.
Naturellement, nous continuons à agir pour obtenir la libération de Christian Chesnot, de Georges Malbrunot et de leur chauffeur syrien.
Nous étudions le dernier communiqué diffusé par le groupe des ravisseurs sur internet avec beaucoup d'attention et beaucoup d'intérêt.
Au-delà de cette attention et de cet intérêt, rien ne me fera dévier de l'attitude que j'ai observée depuis le début de cet enlèvement qui est une attitude de prudence et de précaution.
Cette attitude est guidée par le souci prioritaire de la sécurité des otages et je pense que chacun doit comprendre ce souci.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 septembre 2004)
Le président de la République a eu l'occasion, ici même, de dire l'horreur que nous ressentons tous profondément devant cet acte barbare et devant les images qui en ont été diffusées.
Je veux à mon tour dire toute mon émotion et toute ma sympathie à la famille de M. Armstrong et au peuple américain.
Naturellement, nous continuons à agir pour obtenir la libération de Christian Chesnot, de Georges Malbrunot et de leur chauffeur syrien.
Nous étudions le dernier communiqué diffusé par le groupe des ravisseurs sur internet avec beaucoup d'attention et beaucoup d'intérêt.
Au-delà de cette attention et de cet intérêt, rien ne me fera dévier de l'attitude que j'ai observée depuis le début de cet enlèvement qui est une attitude de prudence et de précaution.
Cette attitude est guidée par le souci prioritaire de la sécurité des otages et je pense que chacun doit comprendre ce souci.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 septembre 2004)