Texte intégral
Je viens d'apprendre que trois des otages français retenus aux Philippines ont été libérés par leurs ravisseurs. Des citoyens de pays amis ont été également libérés, et je me réjouis de ces bonnes nouvelles.
Ma première pensée est pour les otages français et leurs familles : je partage leur soulagement, leur joie de se retrouver réunis, après une épreuve de quatre mois, où nos otages ont affronté des conditions de vie difficiles et angoissantes et où leurs parents, leurs proches, ont été condamnés à une attente longue et incertaine. Aux unes et aux autres, je voudrais exprimer mon admiration pour le courage et la persévérance dont ils ont fait preuve. Je leur souhaite maintenant de surmonter au mieux et au plus vite, ces heures pénibles.
Si leur prochain retour parmi nous est une grande joie, je regrette vivement qu'il n'ait pas été possible d'obtenir le même résultat pour la totalité de nos compatriotes. Tous les services compétents de l'Etat, et tout particulièrement ceux du Ministère des affaires étrangères, qui ont contribué à obtenir ce premier résultat, grâce à une mobilisation constante, continueront à s'employer sans relâche à la libération des trois derniers français encore détenus.
(Source : http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 28 août 2000)
Ma première pensée est pour les otages français et leurs familles : je partage leur soulagement, leur joie de se retrouver réunis, après une épreuve de quatre mois, où nos otages ont affronté des conditions de vie difficiles et angoissantes et où leurs parents, leurs proches, ont été condamnés à une attente longue et incertaine. Aux unes et aux autres, je voudrais exprimer mon admiration pour le courage et la persévérance dont ils ont fait preuve. Je leur souhaite maintenant de surmonter au mieux et au plus vite, ces heures pénibles.
Si leur prochain retour parmi nous est une grande joie, je regrette vivement qu'il n'ait pas été possible d'obtenir le même résultat pour la totalité de nos compatriotes. Tous les services compétents de l'Etat, et tout particulièrement ceux du Ministère des affaires étrangères, qui ont contribué à obtenir ce premier résultat, grâce à une mobilisation constante, continueront à s'employer sans relâche à la libération des trois derniers français encore détenus.
(Source : http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 28 août 2000)