Texte intégral
Le Gouvernement a engagé depuis août dernier une large concertation sur le projet d'intégration de Réseau France Outre-Mer (RFO) à France Télévisions.
Dans ce cadre, après les organisations syndicales de RFO qui ont été reçues les 8 et 9 octobre dernier par leurs cabinets, Brigitte GIRARDIN, ministre de l'outre-mer et Jean-Jacques AILLAGON, ministre de la culture et de la communication, ont fait part de leur projet aux élus d'outre-mer (députés et sénateurs), le 16 décembre, lors d'une audition conjointe.
A cette occasion, Brigitte GIRARDIN et Jean-Jacques AILLAGON ont rappelé aux parlementaires ultramarins les raisons qui motivaient l'intégration de RFO au sein de la holding France Télévisions et les perspectives que le gouvernement entendait donner à l'entreprise.
La filialisation de RFO à France Télévisions doit permettre à RFO de bénéficier de la dynamique d'un groupe important, sans pour autant perdre son identité.
La filialisation doit donner à RFO les moyens de développer son offre propre de programmes de proximité; elle doit permettre aussi d'accroître la visibilité de l'outre-mer par une plus large diffusion d'images ultramarines sur les chaînes généralistes et thématiques de France Télévisions, elle doit faciliter le développement de RFO Sat.
Les modalités de la filialisation préserveront en conséquence ce qui fait la spécificité de RFO. RFO sera une filiale de France Télévisions au même titre que France 2, France 3 ou France 5. La radio sera maintenue dans RFO par souci de conserver les synergies locales. Et le gouvernement veillera tout particulièrement à son développement.
En toute hypothèse, le statut des personnels et ses spécificités dans chaque collectivité locale seront préservés, il n'y aura aucun plan social.
(source http://www.outre-mer.gouv.fr, le 19 décembre 2003)
Dans ce cadre, après les organisations syndicales de RFO qui ont été reçues les 8 et 9 octobre dernier par leurs cabinets, Brigitte GIRARDIN, ministre de l'outre-mer et Jean-Jacques AILLAGON, ministre de la culture et de la communication, ont fait part de leur projet aux élus d'outre-mer (députés et sénateurs), le 16 décembre, lors d'une audition conjointe.
A cette occasion, Brigitte GIRARDIN et Jean-Jacques AILLAGON ont rappelé aux parlementaires ultramarins les raisons qui motivaient l'intégration de RFO au sein de la holding France Télévisions et les perspectives que le gouvernement entendait donner à l'entreprise.
La filialisation de RFO à France Télévisions doit permettre à RFO de bénéficier de la dynamique d'un groupe important, sans pour autant perdre son identité.
La filialisation doit donner à RFO les moyens de développer son offre propre de programmes de proximité; elle doit permettre aussi d'accroître la visibilité de l'outre-mer par une plus large diffusion d'images ultramarines sur les chaînes généralistes et thématiques de France Télévisions, elle doit faciliter le développement de RFO Sat.
Les modalités de la filialisation préserveront en conséquence ce qui fait la spécificité de RFO. RFO sera une filiale de France Télévisions au même titre que France 2, France 3 ou France 5. La radio sera maintenue dans RFO par souci de conserver les synergies locales. Et le gouvernement veillera tout particulièrement à son développement.
En toute hypothèse, le statut des personnels et ses spécificités dans chaque collectivité locale seront préservés, il n'y aura aucun plan social.
(source http://www.outre-mer.gouv.fr, le 19 décembre 2003)