Texte intégral
Q - (Sur les objectifs de votre visite au Maroc)
R - Le but de cette visite, c'est, avec un ministre qui a les mêmes attributions que moi, d'améliorer l'efficacité du service public, d'essayer de trouver des partenariats à la suite d'un accord qui a été signé par nos deux gouvernements lorsque le Premier ministre marocain était venu à Paris. Donc, nous avons des ambitions : d'abord développer l'administration électronique, utiliser les nouvelles technologies pour que l'administration soit plus efficace, plus au service des citoyens, ce qui est à la fois bon pour les usagers du service public mais également pour l'Etat qui fait des économies.
Et puis, nous avons aussi l'ambition de développer un partenariat qui concerne les fonctionnaires, les fonctionnaires marocains et les fonctionnaires français, pour qu'ils apprennent à mieux se connaître et que les échanges en matière de formation puissent également se développer. J'irai tout à l'heure à l'ENA pour évoquer ces sujets. L'ENA française est également toujours très heureuse d'accueillir de hauts fonctionnaires marocains, comme c'est très souvent le cas.
Q - Pourquoi cette initiative de décorer un journaliste marocain, M. Hassan Alaoui Kacimi ?
R - Parce que c'est un grand journaliste qui a fait ses classes en France, qui a été formé à l'Ecole supérieure de Journalisme de Lille et qui est surtout un des traits d'union entre la France et le Maroc. C'est un grand ami de la France. C'est aussi quelqu'un qui, par sa plume, par son talent de journaliste, sert la langue française qui appartient à nos deux peuples et que nous essayons d'honorer. La République est très fière, très heureuse de pouvoir le distinguer lui en particulier, et le président de la République m'a donc prié de lui remettre aujourd'hui les insignes de Chevalier de la Légion d'Honneur
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 21 décembre 2004)
R - Le but de cette visite, c'est, avec un ministre qui a les mêmes attributions que moi, d'améliorer l'efficacité du service public, d'essayer de trouver des partenariats à la suite d'un accord qui a été signé par nos deux gouvernements lorsque le Premier ministre marocain était venu à Paris. Donc, nous avons des ambitions : d'abord développer l'administration électronique, utiliser les nouvelles technologies pour que l'administration soit plus efficace, plus au service des citoyens, ce qui est à la fois bon pour les usagers du service public mais également pour l'Etat qui fait des économies.
Et puis, nous avons aussi l'ambition de développer un partenariat qui concerne les fonctionnaires, les fonctionnaires marocains et les fonctionnaires français, pour qu'ils apprennent à mieux se connaître et que les échanges en matière de formation puissent également se développer. J'irai tout à l'heure à l'ENA pour évoquer ces sujets. L'ENA française est également toujours très heureuse d'accueillir de hauts fonctionnaires marocains, comme c'est très souvent le cas.
Q - Pourquoi cette initiative de décorer un journaliste marocain, M. Hassan Alaoui Kacimi ?
R - Parce que c'est un grand journaliste qui a fait ses classes en France, qui a été formé à l'Ecole supérieure de Journalisme de Lille et qui est surtout un des traits d'union entre la France et le Maroc. C'est un grand ami de la France. C'est aussi quelqu'un qui, par sa plume, par son talent de journaliste, sert la langue française qui appartient à nos deux peuples et que nous essayons d'honorer. La République est très fière, très heureuse de pouvoir le distinguer lui en particulier, et le président de la République m'a donc prié de lui remettre aujourd'hui les insignes de Chevalier de la Légion d'Honneur
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 21 décembre 2004)