Texte intégral
Mesdames et Messieurs, bonjour. Au cours de cette séance de travail suivie d'un déjeuner, dans une ambiance très amicale, Mme la ministre et moi-même avons fait le point de la préparation de la prochaine visite du président de la République française au Mexique, visite préparée ici avec beaucoup de soin, beaucoup d'attention. C'est une visite très importante pour nous.
Nous avons fait le point des relations bilatérales qui sont très vigoureuses, très importantes, mais qui vont recevoir, en plus, une nouvelle impulsion, dans tous les domaines, politique, économique, culturel à l'occasion de la visite dont j'ai parlé. Nous avons élargi notre conversation à un échange de vues sur plusieurs des grandes questions qui préoccupent aujourd'hui toutes les diplomaties mondiales. Nous avons par exemple parlé de la situation dans les Balkans. Je suis très heureux, qu'à l'occasion de son déplacement en Europe, Mme la ministre ait eu le désir de faire cette visite complémentaire à Paris où elle a été accueillie avec beaucoup d'amitié. Nous sommes tout à fait disposés à répondre à vos questions.
Nous avons fait le point des réflexions que nous menons, à la fois sur un plan national et dans les différents groupes auxquels nous participons. J'ai communiqué à cette occasion à Mme la ministre, le mémorandum qui a été élaboré par la France et qui est à l'heure actuelle en discussion au sein des Européens. Il comporte un certain nombre de propositions connues en France sur la façon de rétablir un minimum de règles indispensables dans le système financier international, puisque la crise actuelle montre que c'est une nécessité urgente. Mais, je vous laisse dire peut-être ce dont vous avez parlé vous-même.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 11 octobre 2001)
Nous avons fait le point des relations bilatérales qui sont très vigoureuses, très importantes, mais qui vont recevoir, en plus, une nouvelle impulsion, dans tous les domaines, politique, économique, culturel à l'occasion de la visite dont j'ai parlé. Nous avons élargi notre conversation à un échange de vues sur plusieurs des grandes questions qui préoccupent aujourd'hui toutes les diplomaties mondiales. Nous avons par exemple parlé de la situation dans les Balkans. Je suis très heureux, qu'à l'occasion de son déplacement en Europe, Mme la ministre ait eu le désir de faire cette visite complémentaire à Paris où elle a été accueillie avec beaucoup d'amitié. Nous sommes tout à fait disposés à répondre à vos questions.
Nous avons fait le point des réflexions que nous menons, à la fois sur un plan national et dans les différents groupes auxquels nous participons. J'ai communiqué à cette occasion à Mme la ministre, le mémorandum qui a été élaboré par la France et qui est à l'heure actuelle en discussion au sein des Européens. Il comporte un certain nombre de propositions connues en France sur la façon de rétablir un minimum de règles indispensables dans le système financier international, puisque la crise actuelle montre que c'est une nécessité urgente. Mais, je vous laisse dire peut-être ce dont vous avez parlé vous-même.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 11 octobre 2001)