Texte intégral
Monsieur le président,
Mesdames et Messieurs les députés,
Le Gouvernement voudrait s'associer à l'hommage que vient de rendre votre assemblée aux journalistes, à la profession de journaliste, en cette Journée internationale, à la mémoire de ces 53 journalistes qui sont morts en exerçant leur mission d'information. Je voudrais dire combien nous sommes, les uns et les autres, sensibles à cette journée, nous qui souffrons d'avoir F. Aubenas et H. Hanoun séparés de la France, séparés de leurs familles, séparés de leurs frères depuis près de quatre mois, depuis 118 jours.
Je voudrais vous assurer que l'ensemble des services de l'Etat sont mobilisés : plus de cent personnes, aujourd'hui, sont mobilisées pour la libération de Florence et d'Hussein. Cent personnes qui ont stabilisé des contacts, des contacts stabilisés mais alternatifs, longs, interrompus par de longues périodes de silence, mais à chaque fois rétablis. Un dialogue difficile dans une situation particulièrement dangereuse. Mais je veux croire que tant que ce dialogue est établi, il y a de l'espoir. Et nous sommes tous mobilisés dans cette perspective. Tout sera fait par les services de l'Etat pour permettre à Florence et Hussein de retrouver leurs familles, leurs confrères et leur pays.
(Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 4 mai 2005)
Mesdames et Messieurs les députés,
Le Gouvernement voudrait s'associer à l'hommage que vient de rendre votre assemblée aux journalistes, à la profession de journaliste, en cette Journée internationale, à la mémoire de ces 53 journalistes qui sont morts en exerçant leur mission d'information. Je voudrais dire combien nous sommes, les uns et les autres, sensibles à cette journée, nous qui souffrons d'avoir F. Aubenas et H. Hanoun séparés de la France, séparés de leurs familles, séparés de leurs frères depuis près de quatre mois, depuis 118 jours.
Je voudrais vous assurer que l'ensemble des services de l'Etat sont mobilisés : plus de cent personnes, aujourd'hui, sont mobilisées pour la libération de Florence et d'Hussein. Cent personnes qui ont stabilisé des contacts, des contacts stabilisés mais alternatifs, longs, interrompus par de longues périodes de silence, mais à chaque fois rétablis. Un dialogue difficile dans une situation particulièrement dangereuse. Mais je veux croire que tant que ce dialogue est établi, il y a de l'espoir. Et nous sommes tous mobilisés dans cette perspective. Tout sera fait par les services de l'Etat pour permettre à Florence et Hussein de retrouver leurs familles, leurs confrères et leur pays.
(Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 4 mai 2005)