Texte intégral
Monsieur le président,
Mesdames, Messieurs,
C'est avec un grand plaisir que je participe aujourd'hui à la séance d'ouverture de la 56e Assemblée générale de la Croix-Rouge française. Je me réjouis de vous accueillir dans l'enceinte de l'Ecole militaire. C'est pour moi l'occasion de rendre hommage à l'action menée sur le terrain par la Croix-Rouge en faveur du droit international humanitaire, et de rappeler les liens anciens qui l'unissent à nos armées.
La Croix-Rouge a en effet hérité de l'histoire des liens étroits avec le système de santé des armées, dont elle est l'auxiliaire, en portant assistance aux militaires des armées, aux civils du ministère de la défense comme aux victimes civiles des conflits. Aujourd'hui, plus que jamais, la Croix-Rouge vient compléter l'action des armées vis-à-vis des populations victimes de guerres internationales, de guerres civiles, de troubles et de tensions internes.
Cette coopération étroite est d'autant plus précieuse qu'elle n'entache aucunement les principes de neutralité, d'indépendance, d'impartialité et d'universalité de la Croix-Rouge. Né du souci de porter secours sans discrimination aux blessés du champ de bataille, le Mouvement international de la Croix-Rouge s'emploie à prévenir et à apaiser toutes les souffrances humaines, sans distinction de nationalité, de race, de religion, de condition sociale ou d'appartenance politique.
Je me réjouis de voir vos nouveaux statuts pérenniser les liens qui nous unissent, notamment par la présence au sein du conseil d'administration d'un de mes représentants, le médecin général Meyran, directeur adjoint du Service de Santé des armées.
Je tenais donc à vous dire l'importance que j'attache à l'action que vous menez, et à vous exprimer, au nom de la communauté de défense et de la nation tout entière, ma reconnaissance et ma confiance dans l'avenir
(source http://www.defense.gouv.fr, le 20 novembre 2000)
Mesdames, Messieurs,
C'est avec un grand plaisir que je participe aujourd'hui à la séance d'ouverture de la 56e Assemblée générale de la Croix-Rouge française. Je me réjouis de vous accueillir dans l'enceinte de l'Ecole militaire. C'est pour moi l'occasion de rendre hommage à l'action menée sur le terrain par la Croix-Rouge en faveur du droit international humanitaire, et de rappeler les liens anciens qui l'unissent à nos armées.
La Croix-Rouge a en effet hérité de l'histoire des liens étroits avec le système de santé des armées, dont elle est l'auxiliaire, en portant assistance aux militaires des armées, aux civils du ministère de la défense comme aux victimes civiles des conflits. Aujourd'hui, plus que jamais, la Croix-Rouge vient compléter l'action des armées vis-à-vis des populations victimes de guerres internationales, de guerres civiles, de troubles et de tensions internes.
Cette coopération étroite est d'autant plus précieuse qu'elle n'entache aucunement les principes de neutralité, d'indépendance, d'impartialité et d'universalité de la Croix-Rouge. Né du souci de porter secours sans discrimination aux blessés du champ de bataille, le Mouvement international de la Croix-Rouge s'emploie à prévenir et à apaiser toutes les souffrances humaines, sans distinction de nationalité, de race, de religion, de condition sociale ou d'appartenance politique.
Je me réjouis de voir vos nouveaux statuts pérenniser les liens qui nous unissent, notamment par la présence au sein du conseil d'administration d'un de mes représentants, le médecin général Meyran, directeur adjoint du Service de Santé des armées.
Je tenais donc à vous dire l'importance que j'attache à l'action que vous menez, et à vous exprimer, au nom de la communauté de défense et de la nation tout entière, ma reconnaissance et ma confiance dans l'avenir
(source http://www.defense.gouv.fr, le 20 novembre 2000)