Texte intégral
Q - Comment la France perçoit ce référendum ?
R - Il n'y a pas d'histoire officielle de la France ; la France n'a pas à écrire une histoire officielle. Ce qui est important c'est qu'il y ait une commission d'historiens composée à la fois d'historiens algériens et d'historiens français qui se mettront d'accord pour parler de ce passé commun et pour le faire dans un grand esprit d'amitié et de réconciliation.
Concernant le référendum en Algérie, nous souhaitons que ce vote permette à l'Algérie de poursuivre sur la voie de la réconciliation nationale et je salue d'ailleurs le processus engagé par le président Bouteflika.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 3 octobre 2005)
R - Il n'y a pas d'histoire officielle de la France ; la France n'a pas à écrire une histoire officielle. Ce qui est important c'est qu'il y ait une commission d'historiens composée à la fois d'historiens algériens et d'historiens français qui se mettront d'accord pour parler de ce passé commun et pour le faire dans un grand esprit d'amitié et de réconciliation.
Concernant le référendum en Algérie, nous souhaitons que ce vote permette à l'Algérie de poursuivre sur la voie de la réconciliation nationale et je salue d'ailleurs le processus engagé par le président Bouteflika.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 3 octobre 2005)