Texte intégral
Chers amis,
Je voudrais tout d'abord remercier chaleureusement de leur accueil mes amis Daniel Mougin et Pierre Lewis et leur dire tout le plaisir que j'ai de me retrouver ici avec eux et de poursuivre le dialogue constructif que nous avons dans les Vosges.
Je crois que nous faisons de grandes choses ensemble et surtout que vous remplissez une mission indispensable.
Je ne suis pas des hommes politiques qui aiment frapper d'anathèmes des professions entières et j'ai ressenti l'injustice qu'il y avait à montrer du doigt les enseignants, qui remplissent une mission essentielle dans des conditions difficiles. Ancien syndicaliste de la fonction publique, je sais combien il est injuste d'accuser des agents qui se dévouent et souffrent parfois des conditions de travail qui leur sont imposées.
C'est parce que l'école est touchée par les évolutions de la société, que la question de l'éducation ne se limite pas à la salle de classe. Les activités culturelles et sportives s'intègrent dans un ensemble au service de l'éducation. C'est tout l'intérêt de la Ligue de l'enseignement, de la Fédération des oeuvres laïques, d'animer le péri-scolaire, de penser à l'éducation populaire, de contribuer à une mission républicaine d'émancipation.
C'est aussi le sens du salon de l'éducation qui montre que des partenaires très divers concourent à ce que j'appellerais la production d'éducation. Les éditeurs de manuels, les organisateurs de voyages linguistiques, aujourd'hui les sites internet. C'est dire que l'éducation nationale a encore plus besoin aujourd'hui de toutes les structures, notamment associatives, qui l'entourent pour mieux épouser l'avancée des techniques et des pratiques.
C'est ce que vous faites très bien Lorraine. Et je suis heureux de venir saluer à Paris, des lorrains, des vosgiens disciples au premier chef de Jules Ferry, qui viennent montrer leurs réalisations.
En un mot, merci et surtout continuez ! Une chose est acquise : avec moi, le Conseil général sera toujours à vos côtés !
(source http://www.senat.fr, le 27 novembre 2000)
Je voudrais tout d'abord remercier chaleureusement de leur accueil mes amis Daniel Mougin et Pierre Lewis et leur dire tout le plaisir que j'ai de me retrouver ici avec eux et de poursuivre le dialogue constructif que nous avons dans les Vosges.
Je crois que nous faisons de grandes choses ensemble et surtout que vous remplissez une mission indispensable.
Je ne suis pas des hommes politiques qui aiment frapper d'anathèmes des professions entières et j'ai ressenti l'injustice qu'il y avait à montrer du doigt les enseignants, qui remplissent une mission essentielle dans des conditions difficiles. Ancien syndicaliste de la fonction publique, je sais combien il est injuste d'accuser des agents qui se dévouent et souffrent parfois des conditions de travail qui leur sont imposées.
C'est parce que l'école est touchée par les évolutions de la société, que la question de l'éducation ne se limite pas à la salle de classe. Les activités culturelles et sportives s'intègrent dans un ensemble au service de l'éducation. C'est tout l'intérêt de la Ligue de l'enseignement, de la Fédération des oeuvres laïques, d'animer le péri-scolaire, de penser à l'éducation populaire, de contribuer à une mission républicaine d'émancipation.
C'est aussi le sens du salon de l'éducation qui montre que des partenaires très divers concourent à ce que j'appellerais la production d'éducation. Les éditeurs de manuels, les organisateurs de voyages linguistiques, aujourd'hui les sites internet. C'est dire que l'éducation nationale a encore plus besoin aujourd'hui de toutes les structures, notamment associatives, qui l'entourent pour mieux épouser l'avancée des techniques et des pratiques.
C'est ce que vous faites très bien Lorraine. Et je suis heureux de venir saluer à Paris, des lorrains, des vosgiens disciples au premier chef de Jules Ferry, qui viennent montrer leurs réalisations.
En un mot, merci et surtout continuez ! Une chose est acquise : avec moi, le Conseil général sera toujours à vos côtés !
(source http://www.senat.fr, le 27 novembre 2000)