Texte intégral
Mesdames et Messieurs,
Nous avons saisi l'occasion de cette conférence Afrique-France à Paris, pour nous retrouver Amr Moussa et moi, comme nous le faisons souvent, pour faire le point des choses qui nous concernent, la France et l'Egypte.
Nous avons notamment fait le point de la situation au Proche-Orient après les accords de Wye Plantation et le début de leur application. Nous avons également parlé de la situation en Iraq. A propos du Proche-Orient, vous savez que nous avions travaillé très étroitement ensemble tous ces derniers mois, à une initiative qui aurait pu être utile si la situation s'était complètement bloquée.
Dans le nouveau contexte, nous avons décidé de continuer à travailler ensemble aussi étroitement. Nous suivrons l'évolution de la situation ensemble. Nous nous informerons de tous nos contacts et nous avons l'intention d'être très présents et le plus utile possible. Naturellement, nous nous réservons la possibilité de prendre de nouvelles initiatives, si c'est utile.
Sur l'Iraq, nous souhaitons ardemment que la coopération entre l'Iraq et les Nations unies puisse reprendre sur la base de la résolution 1205 et les autres résolutions pertinentes et conduire enfin à une amélioration de la situation.
Q - Est-ce que la France accuse encore l'Egypte de dumping ?
R - C'est un problème qui est derrière nous. Nous nous sommes réjouis mutuellement de voir que ce problème était dépassé.
Q - Et sur le volet syro-libanais du processus de paix au Proche-Orient ?
R - Nous voulons dire qu'il ne faut pas oublier la question syrienne et la question libanaise, que le déblocage du processus qui n'en est qu'au début n'englobe pas ces questions et que, par conséquent, nous devons continuer à travailler au déblocage de ce volet.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 9 octobre 2001)
Nous avons saisi l'occasion de cette conférence Afrique-France à Paris, pour nous retrouver Amr Moussa et moi, comme nous le faisons souvent, pour faire le point des choses qui nous concernent, la France et l'Egypte.
Nous avons notamment fait le point de la situation au Proche-Orient après les accords de Wye Plantation et le début de leur application. Nous avons également parlé de la situation en Iraq. A propos du Proche-Orient, vous savez que nous avions travaillé très étroitement ensemble tous ces derniers mois, à une initiative qui aurait pu être utile si la situation s'était complètement bloquée.
Dans le nouveau contexte, nous avons décidé de continuer à travailler ensemble aussi étroitement. Nous suivrons l'évolution de la situation ensemble. Nous nous informerons de tous nos contacts et nous avons l'intention d'être très présents et le plus utile possible. Naturellement, nous nous réservons la possibilité de prendre de nouvelles initiatives, si c'est utile.
Sur l'Iraq, nous souhaitons ardemment que la coopération entre l'Iraq et les Nations unies puisse reprendre sur la base de la résolution 1205 et les autres résolutions pertinentes et conduire enfin à une amélioration de la situation.
Q - Est-ce que la France accuse encore l'Egypte de dumping ?
R - C'est un problème qui est derrière nous. Nous nous sommes réjouis mutuellement de voir que ce problème était dépassé.
Q - Et sur le volet syro-libanais du processus de paix au Proche-Orient ?
R - Nous voulons dire qu'il ne faut pas oublier la question syrienne et la question libanaise, que le déblocage du processus qui n'en est qu'au début n'englobe pas ces questions et que, par conséquent, nous devons continuer à travailler au déblocage de ce volet.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 9 octobre 2001)