Texte intégral
La lutte contre les causes structurelles de l'inflation.
- Une action indispensable pour assurer durablement la compétitivité de notre économie.
- Le ministre de l'économie et des finances a fait le point sur les actions menées contre les causes structurelles de l'inflation.
- Il s'agit là d'une oeuvre de longue haleine qui concourt à la fois à la politique d'assainissement à court terme et à l'effort pour établir les fondements d'une économie plus performante à moyen terme.
- Le changement des comportements en matière de prix et de revenus constitue l'élément central dans la lutte contre l'inflation. Les progrès enregistrés depuis dix-huit mois devront être consolidés en 1984. Ils le seront d'autant mieux que se poursuivra la politique d'équité sociale et de justice fiscale. Le ministre a rappelé les améliorations apportées dans ce sens à notre système fiscal et les mesures importantes qui figurent, à ce titre, dans la loi de finances pour 1984, notamment en ce qui concerne les régimes fiscaux des non-salariés.
- L'inflation doit être combattue par une maîtrise rigoureuse de l'ensemble des coûts. Cette préoccupation a conduit le gouvernement à geler les charges sociales des entreprises - à l'exception de celles afférentes à l'assurance chômage -, à contribuer à la diminution relative des coûts financiers, à encourager la productivité et l'investissement. Le système bancaire, l'administration et les régimes de sécurité sociale ont été invités à participer à cet effort. Meilleure compétitivité des entreprises, efficacité plus grande des administrations, diminution des coûts collectifs, tels sont les grands axes de cette politique structurelle qui ne peut réussir sans que notre économie retrouve plus de flexibilité et fasse davantage jouer la concurrence. Les orientations définies par le Conseil des ministres du 9 novembre dernier en matière de politique de la concurrence s'inscrivent dans cette perspective.
- Dans un monde marqué par une compétition acharnée et de s mutations technologiques, il n'y a de place que pour les nations qui savent non seulement produire mieux et plus, mais aussi dominer leurs déséquilibres intérieurs, dont le plus pernicieux est bien l'inflation qui incline à la facilité et nuit à une meilleure productivité de l'économie.
- Une action indispensable pour assurer durablement la compétitivité de notre économie.
- Le ministre de l'économie et des finances a fait le point sur les actions menées contre les causes structurelles de l'inflation.
- Il s'agit là d'une oeuvre de longue haleine qui concourt à la fois à la politique d'assainissement à court terme et à l'effort pour établir les fondements d'une économie plus performante à moyen terme.
- Le changement des comportements en matière de prix et de revenus constitue l'élément central dans la lutte contre l'inflation. Les progrès enregistrés depuis dix-huit mois devront être consolidés en 1984. Ils le seront d'autant mieux que se poursuivra la politique d'équité sociale et de justice fiscale. Le ministre a rappelé les améliorations apportées dans ce sens à notre système fiscal et les mesures importantes qui figurent, à ce titre, dans la loi de finances pour 1984, notamment en ce qui concerne les régimes fiscaux des non-salariés.
- L'inflation doit être combattue par une maîtrise rigoureuse de l'ensemble des coûts. Cette préoccupation a conduit le gouvernement à geler les charges sociales des entreprises - à l'exception de celles afférentes à l'assurance chômage -, à contribuer à la diminution relative des coûts financiers, à encourager la productivité et l'investissement. Le système bancaire, l'administration et les régimes de sécurité sociale ont été invités à participer à cet effort. Meilleure compétitivité des entreprises, efficacité plus grande des administrations, diminution des coûts collectifs, tels sont les grands axes de cette politique structurelle qui ne peut réussir sans que notre économie retrouve plus de flexibilité et fasse davantage jouer la concurrence. Les orientations définies par le Conseil des ministres du 9 novembre dernier en matière de politique de la concurrence s'inscrivent dans cette perspective.
- Dans un monde marqué par une compétition acharnée et de s mutations technologiques, il n'y a de place que pour les nations qui savent non seulement produire mieux et plus, mais aussi dominer leurs déséquilibres intérieurs, dont le plus pernicieux est bien l'inflation qui incline à la facilité et nuit à une meilleure productivité de l'économie.