Texte intégral
Le ministre d'Etat, ministre de l'économie, des finances et du budget a présenté au Conseil des ministres une communication sur les résultats de la balance des paiements française en 1988.
- Le déficit des transactions courantes en 1988 (- 25,3 milliards de francs) a été stabilisé au niveau de 1987 (- 24,7 milliards de francs). Il représente 0,45 % du produit intérieur brut. Alors que de nombreux pays connaissent des excédents ou des déficits excessifs, la situation de la France reste proche de l'équilibre.
- La stabilité du déficit résulte d'évolutions contrastée. Certains facteurs - la forte progression des importations de biens d'équipement, liée à l'effort soutenu d'investissement de nos entreprises, l'accroissement des transferts au budget communautaire - contribuent à l'augmenter ; d'autres, comme l'amélioration de l'excédent touristique, contribuent à le réduire.
- La croissance retrouvée de l'économie française et l'amélioration de la situation de l'emploi peuvent être durablement maintenues dans la stabilité. Pour y parvenir, il est nécessaire de conserver une gestion rigoureuse de l'économie et de donner la priorité à l'investissement.
- Le déficit des transactions courantes en 1988 (- 25,3 milliards de francs) a été stabilisé au niveau de 1987 (- 24,7 milliards de francs). Il représente 0,45 % du produit intérieur brut. Alors que de nombreux pays connaissent des excédents ou des déficits excessifs, la situation de la France reste proche de l'équilibre.
- La stabilité du déficit résulte d'évolutions contrastée. Certains facteurs - la forte progression des importations de biens d'équipement, liée à l'effort soutenu d'investissement de nos entreprises, l'accroissement des transferts au budget communautaire - contribuent à l'augmenter ; d'autres, comme l'amélioration de l'excédent touristique, contribuent à le réduire.
- La croissance retrouvée de l'économie française et l'amélioration de la situation de l'emploi peuvent être durablement maintenues dans la stabilité. Pour y parvenir, il est nécessaire de conserver une gestion rigoureuse de l'économie et de donner la priorité à l'investissement.