Texte intégral
Le secrétaire d'Etat à la recherche et le secrétaire d'Etat à la santé et à la Sécurité sociale ont présenté une communication sur la recherche médicale.
- La France occupe l'une des premières places pour la recherche fondamentale en médecine et dans les sciences connexes. On constate en revanche une relative faiblesse de notre pays pour la recherche clinique, la recherche en santé publique et les bio-industries.
- Pour corriger ce déséquilibre et mieux tenir compte des implications sociales, humaines et économiques dans ce domaine, le Gouvernement agira dans les trois directions suivantes :
- 1. Une meilleure collaboration entre les milieux médicaux et de recherche.
- Il réservera une place plus importante dans les études médicales à la formation à la méthodologie de recherche. Il encouragera le décloisonnement des carrières entre chercheurs et praticiens, notamment par la création de bourses et de postes de mobilité. Il s'attachera à développer les coopérations vers les entreprises industrielles. Il veillera à orienter l'INSERM sur les applications médicales et sanitaires de la recherche, conformément à sa mission initiale.
- Le Gouvernement favorisera le développement de structures de recherche communes entre les organismes de recherche, les universités et les hôpitaux.
- 2. La concertation de l'effort national de recherche.
- Cet effort portera en priorité au cours des prochaines années sur cinq grandes pathologies : les cancers, les maladies cardio-vasculaires, les maladies infectieuses (comprenant le SIDA), les maladies invalidantes et les problèmes liés à l'âge et aux handicaps, et enfin les pathologies des organes des sens. Parmi les sciences du vivant, intégrant les recherches biomédicales, agro-alimentaires et sur l'environnement, seront favorisées les disciplines les plus prometteuses : la génétique, la microbiologie et les biothérapies.
- 3. L'information des citoyens.
- Le Gouvernement encouragera les réflexions et la recherche sur les questions d'éthique soulevées par l'application des connaissances accumulées dans les sciences du vivant et de la santé.
- Il développera les moyens d'information sur la recherche médicale à destination du public et associera les citoyens et en premier lieu la représentation nationale aux réflexions sur ses grandes orientations et sur les résultats obtenus.
- La France occupe l'une des premières places pour la recherche fondamentale en médecine et dans les sciences connexes. On constate en revanche une relative faiblesse de notre pays pour la recherche clinique, la recherche en santé publique et les bio-industries.
- Pour corriger ce déséquilibre et mieux tenir compte des implications sociales, humaines et économiques dans ce domaine, le Gouvernement agira dans les trois directions suivantes :
- 1. Une meilleure collaboration entre les milieux médicaux et de recherche.
- Il réservera une place plus importante dans les études médicales à la formation à la méthodologie de recherche. Il encouragera le décloisonnement des carrières entre chercheurs et praticiens, notamment par la création de bourses et de postes de mobilité. Il s'attachera à développer les coopérations vers les entreprises industrielles. Il veillera à orienter l'INSERM sur les applications médicales et sanitaires de la recherche, conformément à sa mission initiale.
- Le Gouvernement favorisera le développement de structures de recherche communes entre les organismes de recherche, les universités et les hôpitaux.
- 2. La concertation de l'effort national de recherche.
- Cet effort portera en priorité au cours des prochaines années sur cinq grandes pathologies : les cancers, les maladies cardio-vasculaires, les maladies infectieuses (comprenant le SIDA), les maladies invalidantes et les problèmes liés à l'âge et aux handicaps, et enfin les pathologies des organes des sens. Parmi les sciences du vivant, intégrant les recherches biomédicales, agro-alimentaires et sur l'environnement, seront favorisées les disciplines les plus prometteuses : la génétique, la microbiologie et les biothérapies.
- 3. L'information des citoyens.
- Le Gouvernement encouragera les réflexions et la recherche sur les questions d'éthique soulevées par l'application des connaissances accumulées dans les sciences du vivant et de la santé.
- Il développera les moyens d'information sur la recherche médicale à destination du public et associera les citoyens et en premier lieu la représentation nationale aux réflexions sur ses grandes orientations et sur les résultats obtenus.