Texte intégral
Le ministre d'Etat, ministre de l'économie, des finances et du budget a présenté une communication sur le bilan de l'effort financier extérieur.
- Notre effort financier extérieur contribue à améliorer la situation économique de nombreux pays et donc à fournir à leur population des moyens de subsistance et de développement autonomes. En outre, cet effort contribue à accroître le rayonnement de la France.
- Les dépenses budgétaires affectées à nos actions extérieures sont passées de 50 milliards de francs en 1988 à près de 74 milliards de francs en 1991, soit une progression de 46 %.
- Notre effort financier extérieur a représenté pour notre balance de paiements une somme qui est passée de 11,6 milliards de francs en 1980 à 68,2 milliards de francs en 1990, soit une multiplication par plus de trois en francs constants.
- 1 - Cet accroissement est en grande partie lié à la dégradation de la situation financière des Etats, notamment africains, avec lesquels nous sommes traditionnellement liés.
- L'aide publique au développement, consacrée exclusivement aux pays du sud, qui était de 0,51 % du produit intérieur brut en 1988, devrait atteindre 0,56 % de celui-ci en 1991, compte tenu notamment des mesures de rééchelonnement de la dette des pays les plus pauvres décidées à l'initiative de la France aux sommets de Toronto, de Dakar et de La Baule.
- 2 - Sans que notre effort en faveur des pays du Sud se soit ralenti, l'aide de la France aux pays d'Europe centrale et orientale s'est fortement accrue.
- 3 - La défaillance financière d'un certain nombre de débiteurs de la France dans l'exécution de contrats conclus pour l'essentiel entre 1978 et 1984 a entrainé un accroissement important des crédits budgétaires destinés à financer les garanties consenties aux entreprises.
- Notre effort financier extérieur traduit la volonté de la France de pratiquer une solidarité internationale concrète tout en tenant compte des contraintes qui pèsent sur notre budget et sur notre balance des paiements. Nos interventions financières extérieures doivent donc être efficaces et sélectives.
- Notre effort financier extérieur contribue à améliorer la situation économique de nombreux pays et donc à fournir à leur population des moyens de subsistance et de développement autonomes. En outre, cet effort contribue à accroître le rayonnement de la France.
- Les dépenses budgétaires affectées à nos actions extérieures sont passées de 50 milliards de francs en 1988 à près de 74 milliards de francs en 1991, soit une progression de 46 %.
- Notre effort financier extérieur a représenté pour notre balance de paiements une somme qui est passée de 11,6 milliards de francs en 1980 à 68,2 milliards de francs en 1990, soit une multiplication par plus de trois en francs constants.
- 1 - Cet accroissement est en grande partie lié à la dégradation de la situation financière des Etats, notamment africains, avec lesquels nous sommes traditionnellement liés.
- L'aide publique au développement, consacrée exclusivement aux pays du sud, qui était de 0,51 % du produit intérieur brut en 1988, devrait atteindre 0,56 % de celui-ci en 1991, compte tenu notamment des mesures de rééchelonnement de la dette des pays les plus pauvres décidées à l'initiative de la France aux sommets de Toronto, de Dakar et de La Baule.
- 2 - Sans que notre effort en faveur des pays du Sud se soit ralenti, l'aide de la France aux pays d'Europe centrale et orientale s'est fortement accrue.
- 3 - La défaillance financière d'un certain nombre de débiteurs de la France dans l'exécution de contrats conclus pour l'essentiel entre 1978 et 1984 a entrainé un accroissement important des crédits budgétaires destinés à financer les garanties consenties aux entreprises.
- Notre effort financier extérieur traduit la volonté de la France de pratiquer une solidarité internationale concrète tout en tenant compte des contraintes qui pèsent sur notre budget et sur notre balance des paiements. Nos interventions financières extérieures doivent donc être efficaces et sélectives.