Texte intégral
Le ministre délégué au tourisme a présenté une communication relative à la promotion touristique de la France à l'étranger.
Bien que première destination touristique mondiale, la France voit son attractivité de plus en plus concurrencée : on comptait, il y a 20 ans, 50 destinations concurrentes, alors qu'il en existe environ 580 aujourd'hui. Malgré un retour confirmé des clientèles américaine et japonaise, on observe toutefois une érosion de la clientèle européenne sur les neuf premiers mois de l'année 2004.
La France doit définir une stratégie globale en faveur du tourisme compte tenu de la place importante de cette activité dans l'économie nationale. L'objectif est d'augmenter les recettes touristiques afin d'atteindre 40 milliards d'euros de chiffre d'affaires annuel en 2010 et de devancer les États-Unis et l'Espagne.
Le Gouvernement a réuni en septembre 2003 et juillet 2004 deux comités interministériels sur le tourisme qui ont permis, notamment, d'augmenter les budgets de promotion de la destination France et de valider une nouvelle " stratégie marketing " pour 2005-2010 de Maison de la France, groupement d'intérêt économique dont la mission est de promouvoir la " destination France " sous toutes ses formes.
Cette nouvelle stratégie, qui vise à renouveler l'image de la France en mettant en avant, notamment, la variété de son offre touristique, a pour objectif de conquérir de nouveaux marchés émergents, au premier rang desquels figurent la Chine mais aussi la Russie, l'Inde et l'Amérique latine.
Par ailleurs, tout doit être mis en oeuvre pour accueillir les touristes dans de bonnes conditions, notamment dans les grands sites de transit ; des efforts restent à accomplir dans ce domaine pour être à la hauteur de nos concurrents les plus dynamiques, ainsi que le souligne le rapport remis au Premier ministre par M. Plasait, ancien sénateur. L'amélioration de l'accueil des visiteurs étrangers à leur arrivée en France, mais également au moment de la délivrance des visas, nécessite une action interministérielle.
Un portail internet européen, développé en collaboration avec plusieurs États partenaires qui unissent leurs forces pour promouvoir l'Europe dans les pays tiers, complétera cet effort de valorisation de la destination France. [UD 9]
Bien que première destination touristique mondiale, la France voit son attractivité de plus en plus concurrencée : on comptait, il y a 20 ans, 50 destinations concurrentes, alors qu'il en existe environ 580 aujourd'hui. Malgré un retour confirmé des clientèles américaine et japonaise, on observe toutefois une érosion de la clientèle européenne sur les neuf premiers mois de l'année 2004.
La France doit définir une stratégie globale en faveur du tourisme compte tenu de la place importante de cette activité dans l'économie nationale. L'objectif est d'augmenter les recettes touristiques afin d'atteindre 40 milliards d'euros de chiffre d'affaires annuel en 2010 et de devancer les États-Unis et l'Espagne.
Le Gouvernement a réuni en septembre 2003 et juillet 2004 deux comités interministériels sur le tourisme qui ont permis, notamment, d'augmenter les budgets de promotion de la destination France et de valider une nouvelle " stratégie marketing " pour 2005-2010 de Maison de la France, groupement d'intérêt économique dont la mission est de promouvoir la " destination France " sous toutes ses formes.
Cette nouvelle stratégie, qui vise à renouveler l'image de la France en mettant en avant, notamment, la variété de son offre touristique, a pour objectif de conquérir de nouveaux marchés émergents, au premier rang desquels figurent la Chine mais aussi la Russie, l'Inde et l'Amérique latine.
Par ailleurs, tout doit être mis en oeuvre pour accueillir les touristes dans de bonnes conditions, notamment dans les grands sites de transit ; des efforts restent à accomplir dans ce domaine pour être à la hauteur de nos concurrents les plus dynamiques, ainsi que le souligne le rapport remis au Premier ministre par M. Plasait, ancien sénateur. L'amélioration de l'accueil des visiteurs étrangers à leur arrivée en France, mais également au moment de la délivrance des visas, nécessite une action interministérielle.
Un portail internet européen, développé en collaboration avec plusieurs États partenaires qui unissent leurs forces pour promouvoir l'Europe dans les pays tiers, complétera cet effort de valorisation de la destination France. [UD 9]