Texte intégral
Je voudrais remercier le ministre de l'Economie et lui dire combien nous sommes admiratifs des résultats économiques de la Turquie. Par exemple, les exportations de la Turquie vers les Etats-Unis ont augmenté de 8 % l'année dernière.
Quant à nous, nous sommes le cinquième fournisseur et le sixième investisseur. Il y a 300 entreprises françaises présentes en Turquie. Elles emploient 40.000 personnes. Nous sommes présents dans les domaines de l'automobile, de la grande distribution, de la banque et de l'assurance. Demain, nous voulons être davantage présents dans les secteurs des transports, de l'énergie, en particulier de l'énergie nucléaire, participer aux privatisations que vous faites, en particulier dans le domaine des télécommunications. Il y a, dans notre délégation, des hommes d'affaires représentant les plus grandes entreprises françaises, de rang européen et même mondial.
Notre message est simple. Parce que nous voulons d'une Union européenne forte, capable d'être en compétition avec les Etats-Unis, l'Inde, la Chine, nous nous devons de "penser" européen. Nous parlions tout à l'heure avec le ministre de lanceur de satellites, il vaut mieux choisir un Européen qu'un autre. C'est comme cela que l'on apprend à se connaître, que l'on s'apprécie, que l'on travaille ensemble, que l'on a les mêmes réflexes. Sachez que les Français sont très demandeurs d'investissements en Turquie et que nous sommes très heureux de pouvoir acheter vos produits.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 6 février 2006
Quant à nous, nous sommes le cinquième fournisseur et le sixième investisseur. Il y a 300 entreprises françaises présentes en Turquie. Elles emploient 40.000 personnes. Nous sommes présents dans les domaines de l'automobile, de la grande distribution, de la banque et de l'assurance. Demain, nous voulons être davantage présents dans les secteurs des transports, de l'énergie, en particulier de l'énergie nucléaire, participer aux privatisations que vous faites, en particulier dans le domaine des télécommunications. Il y a, dans notre délégation, des hommes d'affaires représentant les plus grandes entreprises françaises, de rang européen et même mondial.
Notre message est simple. Parce que nous voulons d'une Union européenne forte, capable d'être en compétition avec les Etats-Unis, l'Inde, la Chine, nous nous devons de "penser" européen. Nous parlions tout à l'heure avec le ministre de lanceur de satellites, il vaut mieux choisir un Européen qu'un autre. C'est comme cela que l'on apprend à se connaître, que l'on s'apprécie, que l'on travaille ensemble, que l'on a les mêmes réflexes. Sachez que les Français sont très demandeurs d'investissements en Turquie et que nous sommes très heureux de pouvoir acheter vos produits.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 6 février 2006