Texte intégral
Monsieur le Président du Conseil,
En mon nom personnel et au nom du gouvernement français, je vous adresse mes plus chaleureuses félicitations après votre élection au poste de président du Conseil des ministres de Bosnie-Herzégovine.
Cinq ans après la signature des Accords de Dayton/Paris, la formation du nouveau Conseil des ministres, rassemblant sous votre direction les forces réformatrices et pluri-ethniques du pays, marque une étape très importante dans la consolidation du processus de paix.
Je souhaite que le nouveau Conseil des ministres sache donner une réelle impulsion au processus de réformes, dont la Bosnie-Herzégovine a tant besoin pour améliorer la situation économique et sociale de tous ses citoyens, pour renforcer et mieux garantir le fonctionnement des institutions communes, et pour ainsi engager la Bosnie-Herzégovine de manière irréversible sur la voie de la réconciliation et de l'intégration européenne.
Soyez assuré que vous pourrez compter sur l'appui de la France dans cette tâche.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président du Conseil, en l'assurance de ma très haute considération.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 16 mars 2001)
En mon nom personnel et au nom du gouvernement français, je vous adresse mes plus chaleureuses félicitations après votre élection au poste de président du Conseil des ministres de Bosnie-Herzégovine.
Cinq ans après la signature des Accords de Dayton/Paris, la formation du nouveau Conseil des ministres, rassemblant sous votre direction les forces réformatrices et pluri-ethniques du pays, marque une étape très importante dans la consolidation du processus de paix.
Je souhaite que le nouveau Conseil des ministres sache donner une réelle impulsion au processus de réformes, dont la Bosnie-Herzégovine a tant besoin pour améliorer la situation économique et sociale de tous ses citoyens, pour renforcer et mieux garantir le fonctionnement des institutions communes, et pour ainsi engager la Bosnie-Herzégovine de manière irréversible sur la voie de la réconciliation et de l'intégration européenne.
Soyez assuré que vous pourrez compter sur l'appui de la France dans cette tâche.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président du Conseil, en l'assurance de ma très haute considération.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 16 mars 2001)