Texte intégral
Pour la première fois, la réunion ministérielle de l'OCDE se tient au Palais des Affaires étrangères. C'est un honneur pour la France d'accueillir, aujourd'hui et demain, cette réunion.
Je tiens à le rappeler, la France, pays hôte de l'OCDE, accord une très large importance à ces travaux, je salue leurs très grandes qualités et surtout l'inventivité dont l'OCDE sait faire preuve. L'Organisation fournit ainsi un éclairage indispensable à nos politiques, dans de nombreux domaines, la politique économique, l'éducation, l'énergie, l'aide au développement, l'environnement, la protection sociale.
En réalité, ces sujets m'apparaissent comme majeurs dans les relations internationales, ce sont les thèmes qui structurent nos relations politiques et qui façonnent notre monde. L'OCDE a donc un rôle moteur à jouer dans la réflexion sur ces questions et la France attend beaucoup de l'Organisation et entend contribuer aux travaux à venir avec dynamisme.
Je dois reconnaître que c'est un très grand plaisir d'être entouré ici, aujourd'hui, de M. Donald Johnston, le Secrétaire général de l'OCDE et M. Angel Gurria qui lui succédera le 1er juin prochain.
Nous remercions M. Johnston de son action déterminée à la tête de l'Organisation. Depuis qu'il a accédé au Secrétariat général de l'OCDE, quatre nouveaux Etats sont devenus membres, de nombreux sujets ont été défrichés de façon utile et originale par l'OCDE.
Nous félicitons M. Gurria pour sa nomination et nous lui souhaitons bon courage dans ses nouvelles fonctions. Comme j'ai eu l'occasion de le lui dire ce matin, lors d'un entretien que j'ai trouvé particulièrement plaisant et chaleureux, il trouvera toujours la France à ses côtés pour continuer à faire de l'OCDE une organisation utile dans la mondialisation, une organisation en phase avec le monde tel qu'il est, une organisation ouverte sur les nouveaux géants économiques, nous lui souhaitons une organisation élargie, notamment aux puissances émergentes qui le souhaitent.
C'est en effet l'enjeu majeur me semble-t-il de cette réunion ministérielle, l'OCDE aura un an pour dire à qui et comment elle compte s'élargir.
A la ministérielle de l'an prochain, la France espère que la liste et les modalités pratiques de l'élargissement seront finalisées pour que l'élargissement commence ensuite sans délai.
C'est, en effet, la vocation de l'OCDE de rester le lieu où l'on se retrouve, entre pairs, entre les puissances économiques qui font l'économie mondiale d'aujourd'hui.
Il en va de la pertinence de l'Organisation et de ses travaux, je vous remercie.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 29 mai 2006
Je tiens à le rappeler, la France, pays hôte de l'OCDE, accord une très large importance à ces travaux, je salue leurs très grandes qualités et surtout l'inventivité dont l'OCDE sait faire preuve. L'Organisation fournit ainsi un éclairage indispensable à nos politiques, dans de nombreux domaines, la politique économique, l'éducation, l'énergie, l'aide au développement, l'environnement, la protection sociale.
En réalité, ces sujets m'apparaissent comme majeurs dans les relations internationales, ce sont les thèmes qui structurent nos relations politiques et qui façonnent notre monde. L'OCDE a donc un rôle moteur à jouer dans la réflexion sur ces questions et la France attend beaucoup de l'Organisation et entend contribuer aux travaux à venir avec dynamisme.
Je dois reconnaître que c'est un très grand plaisir d'être entouré ici, aujourd'hui, de M. Donald Johnston, le Secrétaire général de l'OCDE et M. Angel Gurria qui lui succédera le 1er juin prochain.
Nous remercions M. Johnston de son action déterminée à la tête de l'Organisation. Depuis qu'il a accédé au Secrétariat général de l'OCDE, quatre nouveaux Etats sont devenus membres, de nombreux sujets ont été défrichés de façon utile et originale par l'OCDE.
Nous félicitons M. Gurria pour sa nomination et nous lui souhaitons bon courage dans ses nouvelles fonctions. Comme j'ai eu l'occasion de le lui dire ce matin, lors d'un entretien que j'ai trouvé particulièrement plaisant et chaleureux, il trouvera toujours la France à ses côtés pour continuer à faire de l'OCDE une organisation utile dans la mondialisation, une organisation en phase avec le monde tel qu'il est, une organisation ouverte sur les nouveaux géants économiques, nous lui souhaitons une organisation élargie, notamment aux puissances émergentes qui le souhaitent.
C'est en effet l'enjeu majeur me semble-t-il de cette réunion ministérielle, l'OCDE aura un an pour dire à qui et comment elle compte s'élargir.
A la ministérielle de l'an prochain, la France espère que la liste et les modalités pratiques de l'élargissement seront finalisées pour que l'élargissement commence ensuite sans délai.
C'est, en effet, la vocation de l'OCDE de rester le lieu où l'on se retrouve, entre pairs, entre les puissances économiques qui font l'économie mondiale d'aujourd'hui.
Il en va de la pertinence de l'Organisation et de ses travaux, je vous remercie.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 29 mai 2006