Texte intégral
Monsieur le président,
Mesdames et Messieurs les députés,
Monsieur le député Leonetti,
Permettez-moi, au début de cette séance, de me tourner vers vous,
monsieur Hollande. J'ai dénoncé, hier, une attitude ; en aucun cas, je
n'ai voulu me livrer à des attaques personnelles, que je condamne. Si
certains mots vous ont personnellement blessé, je le regrette et je les
retire. Dans une démocratie, chacun, majorité et opposition, a bien sûr
sa place et son rôle à jouer, dans l'écoute mutuelle, dans le dialogue,
dans le respect. Mais pour que nous puissions avancer, monsieur
Hollande, dans la voie d'une démocratie apaisée, il nous faut tirer les
leçons des dernières années et des derniers mois. Combien de jeux
stériles, combien de provocations inutiles, combien de sous-entendus
qui portent la rumeur ? Et vous conviendrez, monsieur Hollande, que je
n'ai pas été épargné par les attaques personnelles, par la calomnie et
par le mensonge.
Maintenant, je veux dire à notre majorité, et je veux dire à J.
Leonetti : en quatre ans, nous avons fait un travail considérable. Avec
J.-P. Raffarin, nous avons engagé la réforme des retraites, nous avons
réformé l'assurance maladie, nous avons lancé une politique du logement
ambitieuse. Aujourd'hui, dans la voie tracée par le président de la
République, sous l'impulsion de la majorité, sous l'impulsion du
Gouvernement, le chômage baisse, la croissance repart, les comptes
publics se redressent. Il s'agit maintenant, pour le Gouvernement, de
se concentrer sur les priorités de son action, de continuer à répondre
aux attentes et aux préoccupations des Français sur la sécurité, sur
l'emploi, sur l'éducation, sur la solidarité, sur la préparation de l'
avenir. Le Gouvernement sera à la tâche pour poursuivre le travail
engagé. Il le sera dans le souci de la concertation et du
rassemblement. Nous pouvons être fiers de ce que nous réalisons.
Défendons nos valeurs et nos convictions. Soyons au rendez-vous de l'
action et du résultat.Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 22 juin 2006
Mesdames et Messieurs les députés,
Monsieur le député Leonetti,
Permettez-moi, au début de cette séance, de me tourner vers vous,
monsieur Hollande. J'ai dénoncé, hier, une attitude ; en aucun cas, je
n'ai voulu me livrer à des attaques personnelles, que je condamne. Si
certains mots vous ont personnellement blessé, je le regrette et je les
retire. Dans une démocratie, chacun, majorité et opposition, a bien sûr
sa place et son rôle à jouer, dans l'écoute mutuelle, dans le dialogue,
dans le respect. Mais pour que nous puissions avancer, monsieur
Hollande, dans la voie d'une démocratie apaisée, il nous faut tirer les
leçons des dernières années et des derniers mois. Combien de jeux
stériles, combien de provocations inutiles, combien de sous-entendus
qui portent la rumeur ? Et vous conviendrez, monsieur Hollande, que je
n'ai pas été épargné par les attaques personnelles, par la calomnie et
par le mensonge.
Maintenant, je veux dire à notre majorité, et je veux dire à J.
Leonetti : en quatre ans, nous avons fait un travail considérable. Avec
J.-P. Raffarin, nous avons engagé la réforme des retraites, nous avons
réformé l'assurance maladie, nous avons lancé une politique du logement
ambitieuse. Aujourd'hui, dans la voie tracée par le président de la
République, sous l'impulsion de la majorité, sous l'impulsion du
Gouvernement, le chômage baisse, la croissance repart, les comptes
publics se redressent. Il s'agit maintenant, pour le Gouvernement, de
se concentrer sur les priorités de son action, de continuer à répondre
aux attentes et aux préoccupations des Français sur la sécurité, sur
l'emploi, sur l'éducation, sur la solidarité, sur la préparation de l'
avenir. Le Gouvernement sera à la tâche pour poursuivre le travail
engagé. Il le sera dans le souci de la concertation et du
rassemblement. Nous pouvons être fiers de ce que nous réalisons.
Défendons nos valeurs et nos convictions. Soyons au rendez-vous de l'
action et du résultat.Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 22 juin 2006