Texte intégral
SITUATION AU PROCHE-ORIENT
REPONSE
DU MINISTRE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES,
M. XAVIER BERTRAND,
A UNE QUESTION A UN DEPLACE DU LIBAN-SUD
LORS DE LA VISITE D'UN CENTRE D'HEBERGEMENT
DE DEPLACES
(Beyrouth, 3 août 2006)
Je suis également venu, aujourd'hui, rendre visite aux blessés qui viennent du Liban-Sud. Je ne me suis pas contenté de les saluer. Je leur ai demandé leur histoire, comment ils étaient arrivés à l'hôpital.
Cet après midi, je verrai les organisations humanitaires qui vont aussi effectuer des visites sur place. Aujourd'hui, je sais que la priorité des priorités, c'est que les armes se taisent. La France y travaille. Mais je sais aussi que vous avez besoin d'être aidé avec des médicaments, avec du matériel.
Il faut aider les personnes que j'ai vues tout à l'heure, à l'hôpital, mais il faut également soutenir les personnes atteintes de maladies chroniques qui suivent des traitements lourds. Lorsqu'ils sont déplacés parce qu'ils ne peuvent pas rester chez eux, ces malades n'ont plus leurs traitements. Et une personne qui se bat contre le cancer doit pouvoir bénéficier des médicaments pour pouvoir combattre la maladie.
La situation est terrible ; voilà pourquoi nous allons continuer à vous aider. La France l'a fait, elle va continuer à le faire. Je comprends votre sentiment. Si je suis venu, ce n'est pas seulement pour participer à des réunions de travail, c'est également pour effectuer des visites sur le terrain.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 11 août 2006
REPONSE
DU MINISTRE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES,
M. XAVIER BERTRAND,
A UNE QUESTION A UN DEPLACE DU LIBAN-SUD
LORS DE LA VISITE D'UN CENTRE D'HEBERGEMENT
DE DEPLACES
(Beyrouth, 3 août 2006)
Je suis également venu, aujourd'hui, rendre visite aux blessés qui viennent du Liban-Sud. Je ne me suis pas contenté de les saluer. Je leur ai demandé leur histoire, comment ils étaient arrivés à l'hôpital.
Cet après midi, je verrai les organisations humanitaires qui vont aussi effectuer des visites sur place. Aujourd'hui, je sais que la priorité des priorités, c'est que les armes se taisent. La France y travaille. Mais je sais aussi que vous avez besoin d'être aidé avec des médicaments, avec du matériel.
Il faut aider les personnes que j'ai vues tout à l'heure, à l'hôpital, mais il faut également soutenir les personnes atteintes de maladies chroniques qui suivent des traitements lourds. Lorsqu'ils sont déplacés parce qu'ils ne peuvent pas rester chez eux, ces malades n'ont plus leurs traitements. Et une personne qui se bat contre le cancer doit pouvoir bénéficier des médicaments pour pouvoir combattre la maladie.
La situation est terrible ; voilà pourquoi nous allons continuer à vous aider. La France l'a fait, elle va continuer à le faire. Je comprends votre sentiment. Si je suis venu, ce n'est pas seulement pour participer à des réunions de travail, c'est également pour effectuer des visites sur le terrain.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 11 août 2006