Texte intégral
Je voudrais remercier, au nom de Mme Alliot-Marie et de moi-même, Sergueï Lavrov et Anatoly Serdioukov pour l'accueil qu'ils nous ont réservé pour cette sixième session du Conseil de coopération. Nous avons évoqué notre coopération dans les enceintes internationales. Nous avons félicité les Russes de leur présidence du G8 et nous souhaitons que la présidence allemande continue dans cette voie, en particulier sur les thèmes de la sécurité et sur les thèmes énergétiques. Nous avons également abordé les problèmes de l'Union européenne et nous souhaitons que les négociations commencent très rapidement sur le nouvel accord entre la Russie et l'Union européenne.
S'agissant de l'OTAN, nous avons montré notre intérêt pour approfondir la coopération pratique et le dialogue entre l'OTAN et la Russie.
Concernant l'Iran, aujourd'hui M. El Baradei, comme le Conseil de sécurité le lui a demandé par la résolution 1737, fait son rapport. Je regrette que l'Iran n'ait pas accepté ce que la résolution 1737 lui demandait, c'est-à-dire la suspension des activités nucléaires sensibles. Nous en avons parlé avec nos collègues russes ce matin. J'ai insisté sur le fait qu'il était tout à fait nécessaire de continuer à la fois la voie de la fermeté et de l'unanimité dans ce type de dossier, et en même temps, bien sûr, de laisser toujours la voie possible au dialogue, à condition qu'il y ait une suspension des activités nucléaires sensibles.
Nous avons aussi évoqué la situation au Proche-Orient et au Liban. Vous savez que le Quartet se réunit ce soir. Nous souhaitons qu'il ait un développement en vue d'une nouvelle dynamique au Proche-Orient, une dynamique de paix. Nous n'avons jamais cru à une quelconque solution militaire.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 février 2007
S'agissant de l'OTAN, nous avons montré notre intérêt pour approfondir la coopération pratique et le dialogue entre l'OTAN et la Russie.
Concernant l'Iran, aujourd'hui M. El Baradei, comme le Conseil de sécurité le lui a demandé par la résolution 1737, fait son rapport. Je regrette que l'Iran n'ait pas accepté ce que la résolution 1737 lui demandait, c'est-à-dire la suspension des activités nucléaires sensibles. Nous en avons parlé avec nos collègues russes ce matin. J'ai insisté sur le fait qu'il était tout à fait nécessaire de continuer à la fois la voie de la fermeté et de l'unanimité dans ce type de dossier, et en même temps, bien sûr, de laisser toujours la voie possible au dialogue, à condition qu'il y ait une suspension des activités nucléaires sensibles.
Nous avons aussi évoqué la situation au Proche-Orient et au Liban. Vous savez que le Quartet se réunit ce soir. Nous souhaitons qu'il ait un développement en vue d'une nouvelle dynamique au Proche-Orient, une dynamique de paix. Nous n'avons jamais cru à une quelconque solution militaire.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 février 2007